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Descartes

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Par   •  10 Juin 2015  •  485 Mots (2 Pages)  •  460 Vues

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Monsieur,

C’est avec grand plaisir et gratitude que je vais aujourd’hui vous donner mon opinion sur votre théorie en ce qui concerne la distinction entre l’être humain et l’animal. Après de nombreuses lectures et de longue réflexion, cet enjeu me semble tout aussi valable à notre époque.

Grâce à la révolution scientifique qui a fait évoluer notre perception, la rationalité est née au 17e siècle. Ce concept philosophique qui fonde la connaissance et l’action sur la raison, nous permet de parvenir à la vérité. Présentement, dans notre monde qui ne cesse d’évoluer, ce concept est encore présent, et il nous permet de prendre les bonnes décisions.

Selon vous, l’homme n’a pas seulement un corps servant à se déplacer, il a aussi une âme et des pensées. Il possède la parole, mais il peut également s’exprimer par des signes, comme par exemple pour le cas d’une personne muette. Vous affirmez que les capacités de l’être humain sont directement liées à l’existence de sa faculté rationnelle. L’animal quant à lui, même s’il exprime ses passions d’une manière ou d’une autre, il n’a aucune pensée, et il ne peut pas communiquer tel que l’être humain le peut. Alors même s’il y a certaine similitudes entre l’être humain et l’animal comme par exemple le fonctionnement du corps, la capacité de raisonner est ce qui définit l’être humain.

Après avoir étudié votre théorie, je suis du même avis que vous et je crois fermement que l’être humain se distingue catégoriquement de l’animal, et cela grâce à sa rationalité. L’humain est doté de cet attrait particulier qu’il acquiert au fil du temps. Possédant une raison, ce dernier est donc en mesure de penser, ce qui lui permet de bien agir et de bien utiliser son jugement. Il emploi la logique ainsi que le bon sens, pour faire les choix éclairés et limiter les erreurs. Par contre, quant à l’animal, il va passer à l’acte sans penser aux conséquences qui englobent une action. Il agit donc sans aucune réflexion et sans penser, sans se demander si une action est bonne ou mauvaise. Comme par exemple, s’il fait face à un danger, il va agir selon son instinct de survie et il va se sauver ou attaquer sans même prendre le temps de réfléchir à la situation. Donc ce dernier, au lieu d’utiliser la rationalité, tel que l’humain le fait, il emploie plutôt ses instincts, qui lui sont inné. Cette technique élimine alors tout raisonnement envers ses actions. L’animal ne ce soucie pas du bien et du mal ou d’agir selon certains principes, il agit plutôt dans le but de survivre. Pour conclure, même si les animaux ont certaines caractéristiques en commun avec l’être humain comme par exemple la mécanique du corps, la raison reste tout de même un des points qui les distinguent catégoriquement et cela même encore jusqu’à présent.

Monsieur,

Je vous prie d’agréer, l’expression de mes salutations distinguées.

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