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DESCARTES

Mémoire : DESCARTES. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Décembre 2014  •  1 789 Mots (8 Pages)  •  1 101 Vues

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DESCARTES (1): Pour lui la pensée vient de nous même. Quand on dort par exemple, nos pensées nous échappe. Il doute de la fiabilité de nos pensées. chez Descartes, le point de vue en première personne conduit à une définition de la personne comme substance pensante.

DESCARTES (2) : y a t-il une vérité indubitable? Il admet que toutes les choses de la vie sont fausses si il n'y réfléchit pas. Écho au Discours de la méthode , blâme le dogmatisme des professeurs.

«Je suis, j'existe», évoque le cogito ergo sum. C'est par la pensée,maîtrisée et de nous -même/soi, qu'on existe. Ce que je pense peut-être faux mais il est absolument certain que je ne peux penser sans être.

Où il y a pensée, il y a un être pensant.

KANT : le pouvoir de l'homme, ce qui fait son statut d'Homme, c'est d'être un esprit pensant. L'homme supérieur. Le 'Je', la première personne exprime la penser, donc le statut du rang et de ' la dignité' humaine. L’enfant en grandissant et donc évoluant en être à part entière passe de l'emploi de la 3eme personne à l'usage du JE. Le je n’apparaît pas à la naissance.

HUME : Critique le moi qui est général et continue. Pour Hume le moi n'est pas permanent et change constamment selon nos perceptions. Le je et le moi intérieur ne serait que chimère. On se heurte à des perceptions du monde différentes. Lorsque que ce trouble disparaît ce n'est que pour laisser place au sommeil qui lui même me rend inconscient et je ne ressens plus les perceptions, donc je n'existe plus.

Leibniz: Si il y a oubli du moi antérieur. Nous avons besoin des rappels/'témoignages' des autres. Idée de liaison de conscience. Pour être complet, il nous faut toutes les informations nécessaires. L'identité personnelle et morale ne doit pas forcément être acquise par seulement nous même.

Marx : conscience est un résultat de la société. La conscience serait un effet secondaire de l'histoire et non son essence.

Nietzsche: Nietzsche développe une conception politique du corps. Pour lui là où il y a pensée ne veut pas forcément dire qu'il y a substance pensante. Il s'oppose au «je pense donc je suis». Descartes et les cartésiens n'apportent pas la vérité absolue par leur raisonnement. Et que par défaut, à cause de la grammaire , on a tendance à vouloir dire que le sujet 'agit' forcément. De plus, Il y a différence entre projections de la conscience et la réalité des choses.

INTRODUCTION

« Je est un autre » C'est une proposition quoique paradoxale : le pronom qui désigne celui qui parle, celui que nous croyons le mieux connaître serait, à en croire Rimbaud, un autre.Le sujet n'est jamais, selon Rimbaud, identique à lui-même. Il n'existe que dans le mouvement qui le fait différer de soi : il se transforme constamment.

'Je' est au sens simple intérieur et ne résulte pas des autres. Pour quoi donc Rimbaud écrit-il ceci ? La conscience met pourtant propre et intime. Je sais que l'autre est différent de moi, et qu'il vient de l’extérieur. Comment puis-je être un autre que «moi-même»? Pourtant 'je' ne peut -il pas être différent de ce que l'on croit? Y-a-t-il plus dans cette formule que la simple question de 'je'?

-I- Le paradoxe de la phrase : Je n'est pas un autre, je = moi (au sens de sujet faisant l'action)

a) au sens grammatical et littéral, je est...

un pronom personnel. Désignant le sujet de l'énonciation. Il fait l'action et parle pour «lui-même» . Il y a paradoxe, si «je» est celui qui fait les choses alors il est bien le seule mot de cette phrase à n'être pas «autre». Or c'est bien le fait qu'il y est un je et moi que les autres existent.

b)où il y a pensée, il y a être pensant...

- Le je s'identifie à moi, au sujet , à ce qui mes propre et interne. Dans la phrase il s'ajoute à l'autre. Ce qui est, encore, paradoxal. Comme Descartes, le cartésien le dit «je suis, j'existe». C'est par ma conscience que je suis. Pas n'importe quelle pensée , mais la mienne. Celle que je fais dans ma tête ,elle m'appartient. Il faut se détacher des choses fausses de la vie apprise par les professeurs (écho au Discours de la Méthode , où Descartes dénonçait l'éducation dogmatique).

Descartes dit que la conscience est comme une entité à part du monde extérieur, irréductible à celui-ci, et douée d'un pouvoir spécial concernant l'accès à "soi-même". Alors que «moi», «je» qui pense aux choses simples, cela me donne une identité personnelle.

Rappel et définition du cogito : J'existe par ma pensée (intime). il se définit alors essentiellement comme une chose pensante puisqu’il est absolument certain d’exister alors même que l’existence de son corps (ainsi que de tous les objets de monde) n'est pas prouvé et demeurent dans le doute. Le moi est clairement définit par la conscience de soi et il est maître de ses pensées.Le sujet cartésien est pragmatique et analyse le monde dans lequel il vit pour le dominer de sa pensée.

c) Être sujet, c'est être libre/indépendant...

D'autres philosophes continuent dans cette même pensée:

-Kant qui comprend le "Je" comme capacité d’unir toutes les représentations, mais surtout comme ensemble des lois universelles, il semble de la pensée. En contrôlant la connaissance, le sujet constitue ainsi la seule version du monde accessible à l’homme. Le 'je' intérieur s'oppose aux choses extérieures, aux autres. L'enfant grandissant se désigne non plsu comme il ou elle mais comme 'je', il prend conscience de son statut de suejt. L'homme a la propriété de sa pensée.

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