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Nietzsche la naissance de la tragédie

Commentaire de texte : Nietzsche la naissance de la tragédie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2020  •  Commentaire de texte  •  1 359 Mots (6 Pages)  •  798 Vues

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      « Examiner la science dans l’optique de l’art, mais l’art dans l’optique de la vie » sur ces mots Nietzsche dans l’ouvrage La Naissance de la tragédie montre le projet d’un renversement radical de l’interprétation de l’art.

   Philologue à la faculté de Bâle Nietzsche publiera son premier ouvrage en 1872. La naissance de la tragédie  lui coutera de nombreuses critiques et une exclusion du milieu intellectuel.

En effet, mal accueillit par sa vision complètement transcendante de l’art, Nietzsche offre une compréhension complètement différente de celui-ci.

Qualifié d’hybride ce texte est à la fois philologique et poétique du style nietzschéen. Basé sur les intuitions intellectuelles de l’auteur ce texte pour la communauté scientifique manque de méthode scientifique.

Dans ce texte Nietzsche développe une thèse sur le thème de la nature de la connaissance de l’art, c’est-à-direct l’art en tant que savoir.

    Dès lors il s’attaque au problème de comment la compréhension logique directe montre des insuffisances à la compréhension de l’art.  Lui-même animé par les deux impulsions qui elles, ne sont pas rationnelles. En effet, dans ce texte Nietzsche ajoute un élément à la définition « normale » de l’art et à sa connaissance. La réponse au problème est la thèse qu’il faut ajouter une certitude intuitive à la certitude logique pour comprendre l’art en tant que « science esthétique ».

    Le texte devra être découper en trois parties. La première partie de la ligne une à six énonce la thèse que pour pouvoir comprendre la connaissance de la nature de l’art il faut ajouter à la comprhénsion discursive un élément intuitif. Il introduit alors une nouvelle définition qui dépasse le « logos » c’est-a-dire la compréhension logique. Dès lors, l’insuffisance logique médiatisé pose le problème que l’objet sur lequel porte le discours est conditionné par le discours lui-même. Ainsi, la compréhension de l’énoncé est mené par la démonstration.

    De la ligne sept à quatorze il donne les arguments en faveur de sa thèse, son origine dépendante de l’opposition apollinien et dionysiaque.

Enfin, de la ligne quatorze à vingts et un il montre le fonctionnement de sa thèse, c’est-à-dire comment la puissance de deux forces contraires dans l’opposition créer la production de la science esthétique.

    Le texte commence par introduire une avancé dans la « science esthétique ». En effet, Nietzsche pose donc une position nouvelle qui est la « certitude intuitive ». De la ligne une à six il peut paraître de définir l’art dans sa dualité, cependant il introduit une position nouvelle vis-à-vis de la connaissance de la nature de l’art. Pour lui il n’est pas que discursif mais doit être associé à un élément intuitif.

Il emploie le futur de l’indicatif pour montrer qu’un « grand pas » est nécessaire dans l’art. Il exprime alors une avancée à accomplir dans la connaissance sur celui-ci. Ensuite, il utilise le terme de « science esthétique » et n’emploie pas le mot art. L’utilisation de ce mot équivaut dès lors d’une connaissance à la recherche. Il poursuit d’ailleurs avec le verbe parvenir employé également au futur simple de l’indicatif comme l’aboutissement d’une recherche en cours. En grec, l’esthétique de « aistesis » correspond à la beauté et au sensible. Dès lors l’emploie d’une « science esthétique » fait appel à une connaissance des images et sur ce qui peut-être ressentie.

Ainsi, il pose sa thèse d’introduire à « la compréhension logique » une « certitude intuitive » à la connaissance de la nature de l’art. L’utilisation du terme « non seulement » est important car il affirme qu’il est nécessaire d’ajouter un élément à la faculté de comprendre par la logique, de « logos » c’est-à-dire de la compréhension de l’énoncé mené par la démonstration.

Il ajoute à la connaissance de la nature de l’art une adhésion ferme de sa connaissance par une « certitude intuitive ». Pour être certain de la nature de la connaissance de celle-ci il faut arriver à une compréhension qui suit sans intermédiaire un mode de connaissance qui ne suit pas la raison qui proviendrait d’une connaissance qui vient de l’intérieur de nous.

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