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La figure du moi et la question du sujet

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Par   •  21 Mai 2022  •  Cours  •  1 706 Mots (7 Pages)  •  484 Vues

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Les figures du moi et la question du sujet

Un sujet est quelqu’un qui est capable de dire je, de penser les autres, le monde. Sur la définition le sujet c’est celui du roi ; qqn qui est assujetti à une autorité suprême.

Dans le passé les hommes sont des élément d’un groupe. Se sont dans nos société modernes qu’on se défini comme un sujet libre, indépendant.

Norbert Elias, explique que dans une société traditionnel avec un roi, il y avait la cour du roi qui faisait une micro société. Jamais on ne pouvait se penser a part de la société a laquelle on appartenait. Ça lui permet de faire un portrait du roi. (Voir doc)

  • Le roi utilisait les nombreuses fêtes, promenades pour dispensé, pour faire impression, il remplaçait les récompenses réelles par des récompenses imaginaires … » La société de cour , N. Elias

On a l’impression que ces par la raison que le sujet va se libérer. Qu’il va devenir mettre de lui-même et qu’il va mettre la société de coté. Mais au fond la rationalité dépend de la structure des sociétés, ce n’est pas qq chose d’acquis.

  • Ce qui est raisonnable ou rationnel dépend essentiellement des structures de la société. Ce que nous appelons, par un soucis d’objectivisation, la raison n’est autre chose que notre effort pour nous adapter à une société donnée, nous y maintenir par des calculs, et des mesures de précautions, et y parvenir en dominant provisoirement nos réactions affectives immédiate. » La société de cour, N. Elias

La raison n’est donc pas une faculté propre à un individu c’est une capacité de calcul pour nous permettre de nous maintenir dans une structure social. Il ne faut pas attendre d’elle qu’elle nous libère qu’elle est le produit de notre société.

Politiquement on est dans une société ou les groupes, familles ont été explosé pour n’avoir que des individus seul en leur faisant croire qu’ils sont libre.

Souvent les philosophe idolâtre la raison, comme quelque chose qui peut nous libérer de tt or elle est le produit de notre société donc elle nous ibère de rien.

Personne ne pense par sois même. On pense a travers les lunette social qui sont les notre.

I La Renaissance

Montaigne (1533-1592)

Dans les essais, il se raconte. Tout au long des essaies, il y a l’idée qu’il faut être sceptique etc

« C’est moi que je peins » (Essais)

Pour Montaigne nous ne sommes pas identiques mais nous nous ressemblons et pouvons prendre exemple les uns sur les autres pour nous perfectionner individuellement et collectivement, va nous apprendre une forme de liberté. Et il faut commencer à apprendre l’humilité, dans un siècle qui ne connait pas cette qualité. (« mes discours sont, conformément à mes mœurs, bas et humbles » De l’expérience, Essais). Il faut être généreux cad être capable de donné, avant seul les bines né avait le droit de se penser généreux, avec Montaigne la générosité est une valeur pour tt le monde, elle devient une valeur démocratique. Autrement dit la générosité devient un idéal non héréditaire. Car « La nature humaine étant égale dans tous les hommes (…), il n’y a que le mérite qui devrait nous distinguer ». Être généreux consistera alors à être utile à la collectivité par ses efforts personnels : « Il faut se faire valoir par des choses qui ne dépendent point des autres, mais de soi seul » dit La Bruyère dans Les caractères. Les essais sont éducatif et sont une forme d’introspection, surement la première forme laïque. Il dit qui il est, comment il pense, vit. Il va falloir attendre Rousseau dans les confessions pour retrouver cette manière de faire.

Pierre Charron (1541-1603)

Amis de Montaigne, il écrit avant Spinoza, « Dieu ou la nature », dans de la sagesse. Il est un libertin (cherche a penser par lui même) il cherche « la sagesse humaine et non divine. ». va apporter une conception considérable entre vie privé et vie publique

Dans la sphère privé on a le droit de croire à ce qu’on veut, voir de ne pas croire. À l’extérieur il faut être prudent et il faut suivre les coutumes du mondes. (« Lavartus Prodeo » ou « j’avance masqué » est la devise de Descartes). On trouve les première forme de laïcité chez Charron, consiste en le fat que de chacun dans la sphère privé est totalement libre de ses croyances mais doit être neutre en publique.

=> un vrai libertin, qui est définit en 1555 comme « celui qui s’affranchît de toute religion »

Libre penseur mais aussi sceptique, qui porte sur la religion, la politique la philo bref sur à peu près tt. Son scepticisme le force a distingué trois force de sagesse. Une mondaine qui confond sagesse et pouvoir, l’autre divine donnée par Dieu comme vérité. Charron s’occupera de sagesse humaine. Ne plus pensée à partir de la religion ou apolitique mais à partir de son propre fond. Il définit cette sagesse comme une vertu « toute gaye, libre, joyeuse, relevée, et s’il faut dire enjouée, mais cependant bien forte, noble, généreuse et rare.». Une vertu est une qualité qui nous permet de nous rendre meilleur, de s’évertuer. Consiste juste à essayer de pensée librement.

L’homme comme homme est capte de se démarquer, Térence : « Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger ».

  1. Le Grand siècle (17 ème) DESCARTES (1596/1650)

  • Jamais les promesses de l’avenir ne furent si belles » (Balzac, Le Prince, 1631). Descartes (1596/1650) Clement Rosset

Descartes est à la fois révolutionnaire et a la fois extrêmement traditionnel. Traditionnel parce que il continue à parler de dieu, parce qu’il est dualiste (pour lui il a le corps d’un coté et l’âme de l’autre), parce qu’il ne veut pas changer la nature. Mais en même temps il est révolutionnaire, parce qu’il écrit en français et pas en latin (donc veut être lu par tt le monde), parce qu’il veut refonder tte les sciences, veut fondé une science admirable (science = philosophie à l’époque) veut ça à cause de certain de ses rêve. Tte les sciences sera comme un arbre : les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches sont la médecine, la mécha et la morale. s’oppose à Aristote car il veut fondé cette arbre sur des maths rationnel et c’est ça qui est révolutionnaire car à l’époque ont est sur la bible et Aristote. Ce dernier est dans un finalisme et pense que la nature a des buts. Pour lui il y a les animaux, les végétaux et les humains, chacun possède sa propre âme qui est un principe moteur. Un plante ca pousse et c’est grâce à l’âme qu’elle pousse, pareil pour les animaux il se déplace grâce à l’âme et nous nous pensons grâce à l’homme. Pour Aristote l’âme est un principe moteur. Or Aristote c’est 4AVJC et quand leds chrétiens sont arrivé ils ont mal traduit l’âme. Descartes confond les pensées rationnel et l’âme des chrétiens, ce qui est faux.

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