La bonté de l'homme

L’Homme est-il un être de bonté ?

« En chaque Homme, il y a le meilleur mais aussi le pire. Le problème, c’est de cultiver le meilleur et d’éliminer le pire. » nous dit Jacques Chirac.

Cette citation, est grave, elle signifie que l’Homme est à la foi bon et mauvais, ce sont nos choix qui font de nous quelqu’un de bien.

Enfin, en poussant encore plus loin cette réflexion, qu’est ce qui fait que nous faisons ces choix ? Ce sont : notre éducation, le poids de la société, la peur, nos valeurs… Finalement c’est tous ce que l’on a reçu et ce que l’on reçoit qui dirige nos choix de vie.

Prix dans ce sens, la banalité de Jacques Chirac pose un souci. Un souci d’éthique. Mais au juste, qu’est-ce que l’éthique ? Dérivé du grec éthos qui signifie : mœurs, coutumes, habitudes. C’est pourquoi par extension, et pour la distinguer de l’éthique, on appelle éthologie l’étude des comportements animaux. (Larousse de la philosophie)

Dans ce sens, le mal que peut faire un Homme tout au long de son existence, et un souci sociétal. Nous sommes directement responsables du mal qu’un Homme peut faire. Pour changer cette situation, il faut nous remettre en question et mettre en tord la société dans laquelle nous progressons. Pour donner suite à cela, nous pouvons et nous devons nous poser la question de la bonté humaine et si-il faut croire en l’Homme ?

Par la suite, je tenterai juste de donner des pistes de réflexions, qui ne sont ni n’aboutit ni fermer. Tout un chacun de donner suite… Bonne lecture !

I. Exemplarité :

a. Sommes-nous exemplaires dans notre monde ?

Nous sommes tous pris en exemple par quelqu’un d’autre. Il faut en être conscient, chacun de nous incarnons un idéal à atteindre pour un Homme. Dans ce sens, si nous ne sommes pas exemplaires dans notre monde, nous azimutons notre admirateur vers le mal. Vers la corruption pour reprendre ce terme ci cher à Rousseau.

Mais au juste, sommes-nous exemplaires ? Non… nos vies ne sont pas exemplaires. Affirmer que nos vies ne sont pas exemplaires est vain. Cela ne sert à rien !

Il faut, nous poser, et tous… la question : Pourquoi ma vie n’est-elle pas un exemple ?

En y réfléchissant bien, pour bien des raisons nous ne sommes pas des exemples.

        Nous menons des vies de débauche et de déraison : en effet nous avons tous « besoin » du Smartphone dernier cri. Nous cherchons à avoir la garde-robe la plus rempli de notre entourage. En avons-nous réellement l’utilité, n’est-ce pas purement dérisoire ? La réponse est claire, toutes cette débauche et déraison qui nous pousse à consommer tous ceux qui est consommable (et même ce qui ne l’est pas) est dérisoire. Tout ce superflu ne fait que parasiter notre existence. Nous nous rendons indisponible à l’Homme, mais nous soumettons à l’objet. Nous vouons un culte au bien, ça en devient presque une religion. Encore pire nous avons peur de ne pas pouvoir acheter, et si nous réussissons pour montrer notre exploit nous ne faisons que consommer dilapider le fruit de notre labeur.

        Nous ne sommes pas au service : pourquoi ne sommes-nous pas au service ? Pour fuir le jugement des autres, ou par simple fénéantise. Je n’en sais rien. Cependant, ce que je constate, c’est qu’il est de plus en plus difficile de demander à quelqu’un de rendre un service, faire quelque chose de gratuit.

        Nous ne croyons plus en l’Homme : dans notre monde qui se dérègle, la machine prend la première place, au détriment de l’Homme qui est de plus en plus reléguer au second plan. Nous ne croyons plus en nous-même.

Très martialement, Napoléon disait : « Soldats, il vous suffira de dire que vous étiez à la bataille d’Austerlitz, pour que l’on vous réponde voilà un brave… ». Mais, il avait une foi immense envers le peuple de France et son armée. C’est d’ailleurs cette confiance en l’Homme qui lui à permis de traverser l’Europe et faire de la France la première puissance. La main de l’Homme est la clé de tout.

Aujourd’hui très pacifiquement notre voisin nous dit : « Et la fonte des glaces, le chômage qui augmente, …, et bien sur l’insécurité qui nous entoure, l’humanité est foutue ! ». Avec toute notre âme et toute notre énergie, nous prônons la défaite ! Comment vivre à bout de souffle, toujours à fond ; si nous sommes perdants ? C’est impossible.

Si nous continuons dans ce sens, il vaut mieux tout de suite stopper nos activités et nous laissé « crever » …

Cependant, malgré notre défaitisme, nous continuons à courir. Et forcément nous pratiquons nos activités avec perfidie et intérêt personnel. Avec cet état d’esprit, nous ne sommes pas exemplaires. Mais, après avoir réfléchi sur l’exemplarité douteuse de notre vie. Nous devons nous questionner sur : Comment devenir exemplaire ?

b. Devenir exemplaire ; faire preuve d’exemplarité…

Ensemble, nous avons réfléchi sur le manque d’exemplarité de nos coutumes, habitudes.

Cependant, si nous choisissons de rester sur cette note négative, nous prenons la route direct de l’absurde donc de la mort.

Une réflexion sure : comment devenir exemplaire est donc d’une nécessité première (après avoir pris conscience de notre non-exemplarité, bien entendu !).

        Bienheureux Charles de Foucault disait dans sa prière : « Mon Père, mon Père je m’abandonne à vous… » à son image, il faut apprendre à s’abandonné. A Dieu pour les croyants, et aux autres pour tous.

« S’abandonné », demande trois piliers : la confiance, la foi et le service. Maintenant, comment avoir confiance ? comment croire en l’autre ? Et comment se mettre au servie ?

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