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RENAULT NISSAN

Étude de cas : RENAULT NISSAN. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  10 Décembre 2017  •  Étude de cas  •  425 Mots (2 Pages)  •  1 096 Vues

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DEVOIR MAISON : l’alliance Renault-Nissan

  1. La finalité de l’alliance :

Une entreprise doit assurer plusieurs finalités variant d’une entreprise à l’autre, le produit vendu, la satisfaction de la clientèle ainsi que son besoin et la RSE. La finalité de l’alliance Renault/Nissan est plus penchée vers le produit vendu. Le but étant d’ériger un groupe automobile puissant en mettant en œuvre une stratégie de croissance rentable.

Cette alliance a néanmoins une autre finalité au niveau environnemental car par le biais de leurs produits ils espèrent réduire l’émission de polluant par les automobiles tout en respectant le besoin de mobilité des gens.

  1. Objectifs de Renault, mobilité durable :

Février 2011, Carlos Ghosn présente le nouveau plan stratégique du groupe Renault 2006 – Drive the change. Il souhaite donc réduire l’empreinte de la voiture sur l’environnement et de permettre aux hommes d’avoir accès à la mobilité tout de même.

  1. Commercialisation des voitures 100% électriques :

Mr Ghosn était persuadé que ces véhicules connaîtrait un succès car ces automobiles sont non polluantes et n’utilise pas de carburants (dont le prix ne fait que croître). Elles régleraient un problème de société.

  1. Erreur de Mr Ghosn :

Carlos Ghosn aurait vu un peu trop grand, il avait en effet prévu la vente d’un million et demi d’automobiles d’ici 2016, or ceci fût une erreur. Il a investi beaucoup alors que les ventes n’ont pas décollé, c’est une erreur de jugement.

  1. Limite de rationalité dans la décision :

L’absence de bornes de recharges, le prix élevé des véhicules faisant fuir les clients, les performances ainsi que la tenue de la batterie sont des éléments qui n’ont pas été pris en compte. L’envie d’être le premier sur ce marché à obstrué l’objectivité et la rationalité de Mr Ghosn.

  1. Développement de moteurs hybrides :

La vente de véhicules électrique ayant échoué, les dirigeants se sont donc penchés sur le marché du semi-électrique. La question de l’électrique ayant été déjà exploré, il ne reste plus que les recherche sur l’hybride à emmètre.

  1. Processus décisionnel :

Renault est encore à l’étape de l’étude et de la recherche pour la conception d’un nouveau produit. L’exploration des nouvelles technologies sur l’hybride, le micro-hybride et l’hybride rechargeable sont au programme.

  1. Etapes du processus :

Renault doit identifier le problème de l’hybride, et une fois la solution trouvée l’exploiter pour en concevoir un nouveau produit. Il faudra aussi que l’entreprise règle les soucis des infrastructures mises à disposition ainsi que le prix du produit et sa performance. Il faudra ensuite tester la viabilité du produit avant de décider de le mettre sur le marché.

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