Evolution du commerce mondial

CH1 – La mondialisation : faits stylisés

Fait stylisé = fait qui pose pbs théoriques (commerce important entre pays proches et mm niveau dvpt et échangent mm biens => incompatible avec la théorie sur le commerce international, paradoxe, travail sur la théorie, faire adaptations => fait stylisé)

Objectif : Voir évolutions des théories éco selon contexte

Définition de la mondialisation

Commerce avec l’étranger et la jouissance du libre-échange NORBERG

Between-country integration in three markets goods/labor/capital BORDO TAYLOR WILLIAMSON

Intégration ds 3 dimensions : commerce international/IDE/flux de capitaux WORLD BANK et DOLLAR

Pour MOUHOUD 2 définitions :

Analytique : (paradoxale)

mobilité internationale des firmes et des facteurs de production

accélération sans précédant de la liberté de localisation des firmes ds l’espace mondial ou global (droits de douane ont chuté, couts de transactions aux échanges ont chuté => les agglomérations gagnent et périphéries perdent donc processus de concentration des activités écos)

ne signifie pas forcément dispersion géographique des activités productives (au contraire les firmes n’ont jamais été aussi concentrées dans l’espace)

Composantes :

flux commerciaux, marchandises, services, intra-firmes, échanges intermédiaires

délocalisations (ds ou hors IDE)

flux financiers de capitaux à CT

flux de connaissances et de technologie

migrations internationales de travailleurs (qualifiés / nn qualifiés)

Ces composantes sont interdépendantes.

- A, B anciennes (moitié du commerce mondiale est un commerce intra-firme, fixation des prix, commerce de biens intermédiaires représente les 2/3 ..) ; D et E dynamiques récentes (80s) ; Internationalisation des échanges et des firmes n’a rien de nouveau

- Degré d’ouverture : Export / PIB , très élevé entre 1870 et 1910

- Premières FMN 1860

Les composantes de la mondialisation

Evolution du commerce mondial

Loi de Sombart : économies vers éco complexe, donc augmente taux d’autosuffisance, satisfaction des besoins => prédiction de la chute du commerce mondiale et des échanges internationaux.

Evolution quantitative du commerce : une croissance non sombartienne (depuis 2GM) : baisse des droits de douane, baisse des couts de transports (aériens – maritimes ..), taux d’ouverture des pays émergents au commerce mondial (pas parce que pays nouveaux que activités se dispersent => mm ds ces pays forte concentration spatiale des activités).

Chine All et Usa => 1/3 du commerce mondial (très concentré). Csq : poids sur les marchés mondiaux (price makers), poids ds les négociations commerciales (8 pays à l’OMC contrôlent moitié du commerce mondial de biens), blocage du processus ds certains cas.

Le poids des BRIC poids jusqu’à 15% du commerce mondial des marchandises. Les 7 pays dvpés du G8 contrôlent tt de meme 40% des échnges mondiaux.

Deux ppales unions régionales : ALENA (accord de libre échnge nord américain) => 15% des échnges et UE => 39%. Donc ALENA+UE => > 50%. MAIS  commerce d’une union régionale comporte les échanges intra-zone aussi (qui sont très importants, donc à enlever avant d’agréger)

Performances des pays sur les marchés mondiaux. Indicateur du CEPII ; I = solde commercial du pays dans la branche / exportations mondiales du bien. SI le pays est excédentaire l’indicateur est positif, si déficitaire négatif. Agro et textile (filières de basse technologie), électronique (haute technologie). Indicateur : R&D / prod < 2% basse technologue et > 10% biens de haute technologie. FR et USA maintien de la position ds l’agroalimentaire (soutiens des pol agricoles). Ds le textile, baisse des avantages comparatifs de la FR et du RU. Chine perce ds la filière mécanique et matériel électrique.

CCL : augmentation du poids ds commerce mondial – émergence de nouveaux pays qui remet en cause puissance des pays dvpés)

Quatre changements dans la nature des biens échangés et ds les canaux des échanges :

échanges de biens intermédiaires (conso intermédiaire des entreprises) : fragmentation des processus productifs (ex : automobile), de la chaîne de valeur – FMN acteurs privilégiés de la DIPP – echnges croissants de composants, pièces détachées… - fragmentation des processus de services (TIC). Représente en moyenne la moitié du commerce des pays développés. Interdépendance

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