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Jardin de l’avenir

Dissertation : Jardin de l’avenir. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Janvier 2016  •  Dissertation  •  3 934 Mots (16 Pages)  •  859 Vues

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Nous allons travailler sur le cas Jardin de l’avenir. C’est un magasin bio en libre-service qui propose de la cueillette Bio en plus du magasin. Ils vendent de la nourriture mais aussi des produits complémentaire quel que du maquillage par exemple.

Le bio depuis les années 1990 se démocratise et c’est un marché qui ne cesse de croitre. Il représente aujourd’hui 1,6 milliard d’euros.

Comment l’entreprise le Jardin de l’avenir peut continuer à se développer et quel sont les nouvelles voie de développement pour l’enseigne ?

Diagnostic :

Diagnostic Externe :

Cette analyse permettra d’identifier les opportunités et les menaces de l’environnement qui pèse sur l’entreprise dans le cadre de son développement.

Deux type d’environnement peuvent être distingué : le macro environnement et le micro environnement.

Macro environnement :

Opportunité

Menace

La démographie

Le consommateur bio est plutôt actif urbain. Agé de 30 à 50 ans, ayant des enfants : c’est donc une catégorie qui consomme et qui a plutôt de l’argent. C’est donc une grosse opportunité.

On observe qu’en ile de France, PACA et Rhône Alpes, il y a le plus de magasin bio avec respectivement, 285, 250 et 249 magasins spécialisé bio en 2007.

 

Peu de magasin bio en Picardie, Champagne-Ardenne et limousin avec respectivement : 39, 28 et 23 magasins spécialisé bio en 2007.

Economie

La consommation en France de produit bio est en net progression.  L’engouement du bio ne fait que commencer c’est un marché en pleine ascension.

Le bio est un marché estimé à 1,6 milliard d’euros et ce marché est en pleine croissance. Ce chiffre va donc encore augmenter ces prochaines années.

Les  enseignes de distribution spécialisée bio augmentent leur CA chaque année :

Biocoop avec en 2006 250M€ , en 2007 303 M€

La vie claire avec en 2006 52 M€ en 2007 65 M€

1,1 % c’est ce que représente le marché bio dans la consommation alimentaire soit 1,6 milliard. Ce chiffre est en constante augmentation.

Le bio c’est plus chère que les produit non bio. En effet, leur produit exige plus de main d’œuvre. L’élevage est moins intensif et les cours de collecte sont plus onéreux.

Sur un panier moyen, le panier bio coute 51,65 € contre 27, 13 € pour le panier courant.

Politico-légale

Interdit d’utiliser des pesticides et engrais chimique. Cela garantit un produit naturel et sein.

Le logo garantit une qualité et le respect de la règlementation pour la production végétale et animal ainsi que des produits transformé qui doivent avoir au minimum 95% d’ingrédients issus de l’agriculture biologique. Ce logo est une force pour les partenaires du bio qui garantit et valorise leur travail. Le logo appartient au ministère de la culture et de la pêche.

Le logo guide le consommateur et le rassure.

Les agriculteurs biologiques sont soumis à des contrôles pour obtenir le AB. Les contrôles renforcent leur légitimité.

Depuis les années 1980, le ministère de l’agriculture et de la pèche a mis en place une règlementation et des contrôle rigoureux relatifs à l’agriculture biologique.

De plus, il soutient par des aides au agriculteur le passage de l’agriculture conventuelle à l’agriculture biologique.

Un logo bio européen qui est aussi soumis à des contrôles spécifiques. Ainsi même les produit importé sont garanti par un organise et système de contrôle.

Prolongement du crédit d’import pour les agriculteurs qui font du bio.

Encouragement du ministère de l’agriculture pour l’agriculture bio.il veut tripler la production d’ici 2012. (le cas est de 2008)

Une étude réalisée en fin 2007 révèle que 77% des français considèrent les produits biologiques comme une réponse aux problèmes environnementaux.

La période de crise alimentaire avec la vache folle a poussé les gens a consommé du bio.

Interdit d’utiliser des pesticides et engrais : engendre de nombreuse perte.

Rotation des cultures : donc moins de terre cultivable.

Pour lutter contre les mauvaise herbe et parasite, il mette en œuvre des méthodes qui mobilisent une main d’œuvre importante.

Le label AB européen rend moins strict les principes de respect de l’environnement.

Les OGM au seuil de 0,9% sont autorisés. Cela baisse la crédibilité du bio.

Le socio-culturel

Le bio est en vogue. Les gens veulent manger sain. Cette engouement pour le bio résulte de la recherche d’une plus grande sécurité alimentaire.

Envie de donner le meilleur a son organisme et son entourage et avoir une vie plus seine.

Retrouver le gout et saveur des aliments

Le bio c’est un engagement étique

Les agriculteurs bios ont en commun le souci de protéger la planète.

Ils sont respectueux des cycles naturel de vie et recherche la diversité dans leur production.

La consommation en France de produit bio est en net progression.

4 Français sur 5 connaissent le logo AB et 83 % des consommateurs l’utilise comme repère lors de l’achat de produit bio.

Le nombre de référence bio achetées par des néophytes en grandes surfaces augmente et dépasse de plus en plus souvent le triptyque habituel : lait, œufs, pain.

Fidélité des fournisseurs. : l’agriculture biologique s’accompagne de valeurs sociales incompatibles avec une grande distribution

Il existe encore un vrai clivage entre industriel présent en GSM et ceux fournissant les réseaux spécifiquement bio.

L’agriculture biologique est encore marginale en France. A ce jour, 40% des fruits et légume bio importés

62 % des consommateurs pensent que l’agriculture bio n’est pas capable de fournir des prix attractifs.

39 % des français sont opposé à toutes augmentations des prix alimentaire, y compris en contrepartie d’un meilleur respect de l’environnement pour les produire.

Technologie et formation

Il y a un savoir-faire immense des agriculteurs biologiques en matière d’agronomie. En générale, ce sont de jeune agriculteur mieux formé.

Mise en place de programme de recherche en bio pour améliorer leur qualité et former des technicien en agro bio.

Infrastructure et logistique

Les animaux doivent avoir accès au plein air : c’est très positif pour eux et pour la qualité de la viande.

Les animaux doivent avoir accès au plein air : cela coute très chère.

Très peu d’espèce animale bio sont élevé on tourne autour de 5 produit.

La France est incapable de faire face à la demande.

A ce jour, 25% des produits bios et 40% des fruits et légumes bio sont importés.

Environnement naturels (écologie)

Volonté des gens de participer à la protection de l’environnement sur la décision d’achat.

Une envie de respecter le temps et les saisons.

Les agriculteurs bios ont en commun le souci de protéger la planète.

Ils sont respectueux des cycles naturel de vie et recherche la diversité dans leur production.

L’agriculteur bio contribue à la préservation de la planète.

Très peu d’espèce animale bio sont élevé on tourne autour de 5 produit.

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