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La défaite a bordeaux

Analyse sectorielle : La défaite a bordeaux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Avril 2015  •  Analyse sectorielle  •  1 210 Mots (5 Pages)  •  604 Vues

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LA DÉFAITE À BORDEAUX.

«La défaite contre Paris a été plus difficile, parce qu’elle était méritée. Face à Paris, nous ne sommes pas apparus comme nous pouvions l’être. C’est l’inverse qui s’est produit face à Bordeaux. »

ROMAIN ALESSANDRINI.

«Romain Alessandrini sera encore titulaire au prochain match. Il le mérite amplement. Le remplacement de Payet été pris en compte. Le plus probable serait que Michy joue en 10.

«C’est très probable que Mendy ne joue pas. Nkoulou et Morel joueront. André Ayew va revenir dans le onze.»

LE SENTIMENT INJUSTICE VIS-À-VIS DE L’ARBITRAGE.

«Je ressens aussi ce sentiment d’injustice.

«Quand on réclame une position que l’on considère juste et évidente et que la personne chargée d’administrer la justice pense le contraire, il y a un sentiment de rébellion proportionnel entre le sentiment et la déception. C’est naturel, comme c’est naturel que celui qui prend les décisions puisse avoir raison ou se tromper. Les deux choses sont des manières naturelles de se comporter chez l’homme. »

L’OM ÉJECTÉ DU PODIUM.

«Ce que je vais dire n’est pas convenable, ne convient pas, je ne devrais pas le dire de cette manière : si le championnat se terminait là, la meilleure équipe, de mon point de vue, c’est l’OM. On a les meilleurs joueurs et on a produit le meilleur football. Si cette conviction personnelle, qui n’a pas pour objectif de minoriser les autres équipes, c’est juste ce que je pense. Nous somme 4e, donc bien sûr je dois être insatisfait de mon travail. Je n’échangerai pas l’OM pour aucune autre équipe du championnat. Il y a des équipes qui ont de bons joueurs en plus grande quantité, c’est un désavantage, mais les joueurs avec lesquels l’OM joue habituellement, je ne les changerai pas pour des joueurs des autres équipes. Avec cette pensée, cette conviction, nous sommes 4e. C’est l’équipe qui me plaît le plus. La conclusion est évidente. Je ne suis pas satisfait de ce que j’ai fait avec les joueurs que j’avais à ma disposition.»

RESTER UN AN DE PLUS POUR FAIRE MIEUX ?

«Il faut que je lutte pour que l’équipe soit dans les trois premiers. Je le dis avec beaucoup de tristesse parce que je ne peux pas dire que l’équipe doit lutter pour le titre. Les possibilités pour lutter pour le titre étaient très accessibles, vraiment très accessibles. Ensuite, on peut expliquer chaque match, mais notre obligation est de produire des résultats, c’est la mienne en particulier. Si on ne lutte pas pour le titre jusqu’à la dernière journée, nous devons au moins être parmi les 3 premiers.

«Pour moi, dans un projet de travail, que l’équipe que je dirige participe à telle ou telle compétition internationale n’est pas une condition sine qua none. Je n’indiquerai pas au club que je veux continuer ou pas en fonction des compétitions auxquelles l’équipe participera. Pour moi, un projet sportif intègre beaucoup d’autres choses avant ça. Je le répète, ne pas combattre pour le titre est une immense déception, ne pas terminer sur le podium serait très mauvais. C’est de ma responsabilité que l’équipe termine dans les 3 premiers. Il n’y aurait pas d’argument valable si l’OM ne terminait dans les trois premiers.»

SA RÉCENTE RENCONTRE AVEC MARGARITA LOUIS-DREYFUS ?

«Elle m’a dit qu’elle désirait que je continue. Elle m’a aussi dit quelque chose que j’ai encore plus apprécié, c’est qu’elle valorisait ma conduite sur le plan humain. Cette affirmation, je lui donne beaucoup plus de valeur qu’à aucune autre. Pour résumer ma position, pour essayer d’être en adéquation avec ce que m’a dit Margarita, quand se termine le championnat, se termine mon contrat. Je ne sais pas à quelle position terminera l’équipe. Je désire ardemment qu’elle soit 2e ou 3E. A ce moment-là, toutes les cartes seront rabattues pour faire des projections sur le futur de l’OM. Ce n’est pas pareil de faire avec un entraîneur qui a atteint ces objectifs et avec un entraîneur qui n’y est pas parvenu. En résumé, ce qui est convenable c’est que chaque partie fixe ces conditions en ayant tous les éléments en main. Je valorise beaucoup ce que m’a dit Margarita Louis-Dreyfus sur ma condition humaine. Je mets ça au-dessus de ses compliments sur mon travail.»

LA DÉCISION SUR SON AVENIR ?

«Je réponds toujours la même chose. Je réponds toujours à des faits concrets. Que la propriétaire du club m’ait dit : «Je veux continuer avec vous.» Ce n’est pas la même chose que de renouveler un contrat qui se termine. Je valorise énormément les mots de la propriétaire. Je ne répondrai clairement que lorsque j’aurai une proposition concrète. C’est beaucoup mieux si la propriétaire le fait si j’ai réussi mes objectifs. Ce qui me correspond à moi comme professionnel, c’est qu’on évalue mon avenir avec tous les éléments pour pouvoir juger. Si c’est bon pour moi ou pas. S’ils prennent une décision en particulier, j’écouterai et je répondrai.»

DES CONTACTS AVEC L’ARABIE SAOUDITE ?

«Je ne parle d’aucune proposition quand je suis encore sous contrat. Je me prononce seulement quand je ne suis plus sous contrat. J’agirai dans ce sens de manière correcte. Je n’entamerai pas de discussions tant que j’aurai un contrat en cours.»

Marcelo Bielsa annonce son onze de départ pour Nantes-OM, 33e journée de Ligue 1 2014-15.

Conférence

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