Escrime, d'hier à aujourd'hui

L’ESCRIME

Ce dossier de synthèse remplaçant la notation habituelle de l’AS escrime vise à retracer l’histoire de la pratique ainsi que son évolution au fil des âges.

Mais aussi à aborder mon expérience et mon ressentie donnant suite aux séances du 17 septembre jusqu’au 22 Octobre.

Sommaire :

- Aspects historiques et culturels de l’activité

- Aspect règlementaire moderne

- Résumé de l’ensemble des actions et des notions travaillées en cour

- Analyse de ma pratique

Aspects historiques et culturels de l’activité :

L’enseignent, la théorisation et la règlementation du combat à l’épée est la cause directe de la nécessité pour les nobles du Moyen Age de se préparer à la guerre, eux qui risquent fréquemment leur vie sure le champ de bataille.

Les premiers traités sur la pratique apparaissent au XIV siècle .. Les maitres d’armes les plus connue à l’époque sont Johannes Liechtenauer, le maître incontesté du xiv siècle, et Hans Talhoffer, maître suisse au xv siècle.

Néanmoins l’escrime de cette époque restait cantonnée a un aspect très militaire, bien loin de la vision actuelle que nous avons aujourd’hui de ce sport de combat. Pour preuve les armes de l’époque ne sont plus utilisées hormis l’ors de reconstituions historiques ou de sports dédiés.

C’est au XV siècles avec l’invention de la rapière que l’escrime vas changer de dimension, La rapière apparaît en Espagne vers 1470. Son nom est dérivé de l’espagnol espada ropera, c’est-à-dire « épée que l’on porte avec ses vêtements » ; plus simplement, il s’agit de la première épée de ville.

Avec elle apparaitrons les premiers concours et compétitions d'escrimes, faisant naitre un aspect sportif inconnue jusqu’alors.

En France, la codification de l’escrime, la définition de ses termes et l'organisation d'une pédagogie de l'escrime eu lieu au cours du xviie siècle par des maîtres d’armes tels que Le Perche du Coudray, Besnard ou Philibert de la Touche.

Cette « sportivisation » de l’escrime vas se poursuivre jusqu’à nos jours. Aujourd’hui les armes de l’escrime n’ont plus leur place sur les conflits armés, néanmoins elle conserve un très fort aspect culturel notamment dans les pays d’Europe Occidentale.

Cela se traduit par une domination au jeux Olympique de l’Italie, de la France sans oublier la Hongrie et bien d’autres…

L’escrime fait d’ailleurs partie des quatre sports ayant toujours figuré au programme olympique. Le fleuret et le sabre apparaissent d’ès l’édition de 1896. Quant à l’épée elle figurera au programme des jeux Olympique à partir de l’année 1900. Ces 3 armes ont su évoluer avec leur temps.

Le sabre fut l’arme blanche la plus prisé de l’armée Française, dans tous les corps de l’armé mais surtout par la cavalerie. La possibilité de frapper de taille étant indispensable. Encore aujourd’hui les officiers de l’armé arborent leur sabre lors de défilé.

L’épée quant à elle est la descendant de la rapière puis de l’épée de cour. La multiplication des duels puis leur interdiction, leur ré autorisation et enfin l’évolution des mentalités auront transformé l’épée j’jusqu’à ce quelle prennent l’apparence qu’on lui connait aujourd’hui.

A la différence de l’épée et du sabre, le fleuret est une arme exclusivement réservé à l’entrainement. Elle apparait en même temps que l’épée de cour et annonce les débuts de la sportivisation de la pratique. En effet elle permet de pratiquer l’escrime sans risquer de blessures graves.

Aspect règlementaires modernes :

Le règlement des trois armes

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