Étude du roman Dernier Jour D'un condamné de Victor Hugo

Francais

Victor Hugo grand écrivain du romantismen écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un Condamné. Ce roman à thèse à son apparition à declenché une vrai polémique, car dans son roman Victor Hugo fait parler un condamné pour plaider en faveur de l'abolition de la peine de mort. Le chapitre 48 se passe 3 h avant l'excution du condamné. Il revoit sa fille après un an de séparation, pour la dernière fois. Face a ces retrouvailles comment l'auteur fait il naitre les émotions dans ce texte.

I Des retrouvailles partagées

1)Rejet du père

2)Le désespoir du père

II Le registre pathétique

I) Des retrouvilles paratgées

1) Rejet du père

La petite marie traite son père comme un étranger elle le désigne avec ce nom indefini "monsieur" l10,21,26,32,37. On retrouve aussi dans ce passage le champ lexical de la visions "regardait"l5 oeil inquiet l6 visage, parole, accent l11 "barbe, habit, paleur l12 ces deux dernières accumulation insistent sur le fait qu'il est méconnaissable, ou encore "regarder ses beaux yeux l19 regard l20. Sa propre fille lui parle comme si elle parlait a n'importe qu'elle personne avec le vouvoiement "10/19vous l37 venez l57 rendez. L'emploi de l'impératif "venez" montre que la petite fille ne réalise pas que son père est prisonnier. Quand le condamné lui revèle qu'il est son père on voit bien qu'elle ne le croit pas par l'interjection de "ah" l40, elle nie tout ce qu'il lui dit elle ne veut même pas imaginer que se soit vrai "non mon papa etait bien plus beau". De plus dans tout ces gestes Marie rejette son pèreIl n'est déja plus homme mais pire il n'est plus père.

2) Le desespoir du père

La fillette à l'age de la fille de victor hugo, le nom marie evoque la pureté de la vierge marie.

Le père est euphorique de revoir sa fille on le voit par l'accumulation "elle est fraiche elle est rose elle a de grand yeux elle est belle !" l1, l'anaphore de "je l'ai" montre la fierté qu'il éprouve envers sa marie. Le condamné tient dans ces bras la seule presonne qui le rattache a la vie.

Alors que ni sa femme ni sa mère ne viennent le voir et que ça fille ne le reconnait pas, il le ressent comme une première mort. L'anaphore de "déjà" exprime tout le desespoir du condamné quand elle ne le reconnait pas. Marie qui ne sait pas a qui elle parle lui repète ce que lui a dit sa mère "il est mort" l29, pour toucher, persuader le lecteur l'auteur utilise le lyrisme avec la répétition du verbe aimer l22 25, ponctuation expressive et l'emploi de "vous". Il est si decu de n'être personne aux yeux de sa fille qu'il en devient brutal "violemment l9 "vous me faites mal" l10 "je lui ai arraché des mains" l54"ma violence" l56 Il passe de l'euphorie de la joie a une rélle brutalité il est decu. L'extrait debute par un registre mélioratif

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