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Étude du Chapitre 48 du roman Le Dernier Jour D'un Condamné de Victor Hugo

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Par   •  21 Mai 2014  •  852 Mots (4 Pages)  •  22 431 Vues

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1- Une heure sépare le condamné de son arrêt de mort.

2- Le narrateur a qualifié le bourreau de valet de la guillotine.

3- La toilette du condamné commence à trois heures, elle consiste à couper les cheveux du condamné au hasard, ainsi que le col de sa chemise.

4- Les personnes ayant assisté à la toilette du condamné sont : le prêtre, les gendarmes, le bourreau, ses deux valets (assistants) et un jeune journaliste.

5 Le bourreau s’appelait Samson.

6 Tantôt le narrateur compare les cris du peuple aux aboiements des chiens, tantôt aux hurlements des loups.

7 L’indice qui montre la richesse du narrateur est : la chemise de batiste.

8 Le narrateur a surnommé ceux qui vendent les places aux spectateurs de « marchands de sang humain »

9- Quand il entendit les cabaretiers crier « qui veut des place » le narrateur s’est mis en colère.

10- Le narrateur a qualifié les spectateurs de : cruels et avides

11- Le narrateur a été transféré à l’Hôtel de ville qui donnait sur la place de la Grève

12- « eux les chapeaux moi la tête » : Le narrateur fait allusion à sa décapitation.

13- Figures de style :

- Depuis six heures, depuis six semaines, depuis six mois. (Gradation)

- Ces bourreaux sont des hommes très doux (antiphrase)

- Les mille têtes hurlantes du peuple. (Synecdoque)

- Cet atroce éloge. (Oxymore)

- Puis de la foule, de la foule et de la foule. (Anaphore)

- Une mer de têtes sur la place. (Métaphore + synecdoque)

- La place a éclaté en bruit. (Métonymie)

- Des marchands de sang humain criaient. (Périphrase)

Les registres littéraires :

Le texte s’apparente à deux registres principaux :

Le registre tragique : le narrateur nous décrit le trajet allant de l’Hôtel de ville à la place de la grève, au fur et à mesure que la charrette avance, la peur du narrateur s’accroît « Le cœur m’a failli » « j’ai tremblé ».

- Le visage et les bras rouges des bourreaux renvoient au sang et connotent ainsi la mort.

- L’attachement du narrateur au moyen d’une corde, illustre son impuissance face à son destin, la mort est de ce fait inéluctable (inévitable).

Le registre ironique : Tout apeuré qu’il soit le narrateur ne manque pas de railler (se moquer) :

- La foule qui demande sa tête : « Et les plus près de moi battaient des mains, si fort qu’on aime un roi, ce serait moins de fête » « eux les chapeaux moi la tête ».

- Les bourreaux qui

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