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Étude du Conflit De génération Dans le roman Sous L'orage De Seydou Badian

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Par   •  19 Mai 2014  •  675 Mots (3 Pages)  •  8 982 Vues

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Introduction

Seydou Bodian Kouyaté est un écrivain et homme politique malien né à Bamako en 1928.Écrivain reconnu internationalement, il publie avant l’indépendance du Mali, en 1957, son premier roman intitulé" Sous l’orage".

SOUS L’ORAGE : D’une part, le poids du passé, l’autorité de la tradition, le prestige des anciens ; d’autre part, l’appel des temps nouveaux, l’ouverture et les émois de là jeunesse, la profondeur millénaire de l’Afrique et les horizons stimulants dévoilés par d’autres formes de savoir, ce débat est celui des pères et des fils, et tel est l’orage subi par les peuples africains.

I/ Le choc des cultures

Dans sous l’orage de Seydou Bodian il existe une grande confrontation entre la culture traditionnelle des vieux et les jeunes qui font qu’imite les blancs. En réalité, l’harmonie de la famille benfa n’était qu’apparente et cette samou permis de voir au grand jour une division qui avait toujours existe bien souvent a propos d’école, de vaccination ou autre chose les jeunes n’étaient pas de l’aire des anciens et s’ils ne manifestaient pas bruyamment leur désaccord, c’était par égard ou simplement par crainte de représailles. Ils riaient entre eux et poussaient des exclamations parfois irrévérencieuses lorsque le père Benfa disait des trillons rouges chainaient des graines de maladie ou que la rareté des pluies était la réponse divine a inconduite de la jeune génération. Ils riaient lorsque le père Benfa faisait des offrandes pour conjurer le mauvais sort en période d’épidémie. De l’autre cote, sibiri et son père riaient également quelques fois. Ils riaient lorsque les jeunes leurs disaient les maladies étaient dues a de petits êtres, si petits qu’on ne peut pas voir a l’œil nu.

E comment les as-tu vus, toi petit menteur ? dit un jour le père Benfa a Birama. Ils riaient lorsque Birama refusait de boire dans le calebasse commune parce qu’elle contenait ces maudits petits êtres. Un jour, Birama reçut pour avoir dire qu’il n’était pas prudent de manger a plusieurs dans le même plat.

-Mon père et le père de mon père ont fait ainsi ; si tu t’en trouves mal vas-t’en avec les blancs. Je t’ai mis à l’école pour que tu saches lire. Je n’ai jamais voulu que tu deviennes un blanc. Répondit le père Benfa

II/ L’aliénation culturelle chez les jeunes

Dans sous l’orage les jeunes ont abandonne leur cultures et veulent imiter celle des blancs c’est-a-dire, ils s’habillaient comme des blancs.

Tout cela dépassé disait Birama autour de lui la civilisation demande autre chose. Nous ne somme pas pour cette vie dont parle sibiri, elle est bonne pour les ignorants. Aujourd’hui, il faut être instruit si l’on veut être respectes. Nianson et Karamako n’hésitèrent pas entre la vie rude de sibiri et la civilisation de birama. Ils choisirent d’être modernes et considèrent comme Birama que Sibiri n’était qu’un ignorant. Lorsque Birama et Kany arrivèrent au village un vieillard disait a Birama « si tu viens nous voir il faudra porter nos habits. Lorsque Birama disait qu’il veut assiste à la vielle de ce soir. Il ne voulait pas amener birama à la chasse. Il lui disait « tu es mon neveu au même titre

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