Voltaire

A la manière de Voltaire, vous écrirez un dialogue à propos de l’enseignement que vous recevez actuellement (points positifs et points négatifs). Quelle serait l’enseignement idéal ? Vous intégrerez des références avec les textes étudiés pendant la séquence.

Suite à un conseil de classe, un professeur et une déléguée de classe discutent de l’éducation reçue par les élèves de nos jours.

L’élèves prends son sac et explique au professeur : « Vous savez je pense que mes amis et moi avons beaucoup de chance de pouvoir étudier dans des écoles gratuites et laïques, dans d’autres pays ce n’est pas le cas. ».

Le professeur acquiesce tout en sortant de la salle : « tu as raison, d’autant plus que plusieurs personnes ont lutté pour que les écoles soient gratuites, laïques et obligatoires, comme Rabelais, dans Pantagruel il a d’ailleurs mentionné qu’il était facile d’apprendre. ».

L’élève réagi, joyeux de montrer ses connaissances au professeur : « oui, j’ai lu Pantagruel et Gargantua, d’ailleurs Rabelais a expliqué de la bouche du père à l’oreille du fils que dorénavant même les femmes et les filles pouvaient étudier. Je trouve que c’est bien parce que déjà à cette époque les auteurs avaient des idées de notre époque. ».

Le professeur rappela gentiment a l’élève : « oui mais tu sais il n’y a pas que Rabelais qui avait cette idée, Louise Labé a eu l’envie que comme elle, les femmes ais droit à l’éducation, elle voulait que les femmes aient un autre avenir que celui de tenir une maison. Mais comme nous l’avons vu dans le cours de la semaine dernière, avant les écoles n’étaient pas mixtes. Il y a avait d’un cotés les garçons et de l’autre les filles. »

L’élève, se souvenant d’un autre cours ou il avait étudié les précepteurs dit : « c’est vrai, d’ailleurs j’ai une question qui me vient à l’esprit à propos des précepteurs : ils enseignaient les sciences mais maintenant nous étudions aussi le sport alors, et ce qu’ils étudiaient le sport avec leurs élèves ? »

Le professeur répondit : « oui, Rabelais a d’ailleurs rappelé l’expression « un esprit saint dans un corps saint » parce que dans Gargantua, le précepteur fait attention à ce que son élève ais un bon équilibre corps/esprit. Nous faisons la même chose avec vous sauf que maintenant vous êtes plusieurs. »

L’élève rétorqua poliment : « c’est vrai mais je pense que un professeur pour des classes aussi nombreuses que les nôtres ce n’est pas assez, de plus un élève qui a du mal à suivre le rythme de toute la classe est perdu. ».

Le professeur en sortant du lycée expliqua : « oui mais ça ne te plait pas d’avoir des amis et des camarades ? S’il y avait encore les précepteurs tu étudierais seule, de plus les élèves ont plus tendance à suivre le mouvement donc ils ne prennent pas tant de retard et nous vous aidons à rattraper. ».

L’élève, avant de partir acquiesça avec respect : « vous avez raison, et puis étant donné que nous avons un professeur par matière vous les approfondissez peut-être plus qu’un précepteur. ».

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