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Victor Hugo, Le dernier jour d'un condamné

Étude de cas : Victor Hugo, Le dernier jour d'un condamné. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Octobre 2018  •  Étude de cas  •  363 Mots (2 Pages)  •  657 Vues

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Nous étudierons un extrait de texte de Victor Hugo auteur du 19s qui écrit ici Le dernier jour d’un condamné en 1929 et le second qui est un extrait d’essaye qui s’appelle réflexions sur la guillotine écrit par Albert camus écrivain philosophe du 20s. Après avoir dégager les points communs entre les deux textes nous montrerons que leur stratégie argumentative est différente.

Victor Hugo et Albert camus défendent 2 causes, ils dénoncent la peine de mort et défendent la thèse de l’abolition de la peine de mort. Ils vont tous les deux utilisé des registres similaires comme celui de la mort ou du pathétique, les textes sont aussi assez dramatique.

Victor Hugo va préférer un récit pour faire passer sont message il va à travers le récit prendre le lecteur par les sentiments et ainsi leur faire prendre la place du personnage et leurs donné l’envie de   défendre la cause, alors que camus lui va inviter le lecteur a réfléchir lui-même sur la thèse en lui montrant des argument ainsi que en exerçant une pression psychologique sur lui comme il le montre L.34 AT 36 «  il faudrait que la peine de mort (…)un tel monstre ne se rencontre pas dans le privée. ». Dans l’extrait de Victor Hugo on peut remarquer bcp de phrases affirmative et interrogative, les phrases affirmative servent à montrer un certain désespoir du personnage alors que les interrogative souvent sans réponse qui  traduise une inquiétude et de la compassion pour ça fille, qui vivra sans lui , mais elle invite aussi le lecteur a être émue pour le futur de ça fille et le sort du père . Le vocabulaire pathétique le montre aussi comme nous le montre VH L.2 « O ma pauvre petit » avec ici le mot pauvre. CAMUS quant à lui va plutôt insister sur des procédé d’écriture particulié comme L4 ET 5  « qui m’a fait mal(…)il s’agit d’un » avec un rythme anaphorique plus un rythme tercière qui donne du ton a la phrase et appuie dessus . Le pronom nous est utilisé , ils engague les lecteur ainsi que l’auteur a nous impliquer dans ce qu’il dit.

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