Ut Pictura Poesis

Latin, littéralement "comme est peinture est ainsi poésie."le rapport (souvent répété) se produit le plus célèbre dedans Horace's Ars Poetica, près de l'extrémité, juste après "autre" la plupart de la citation célèbre du traité de Horace dessus poetics, "dormitat Homerus de bonification", ou "même Homer incline la tête" (une indication que même le poèt le plus habile peut composer le vers inférieur) :

La poésie ressemble à la peinture. Quelques travaux vous captiveront quand vous vous tenez très près d'eux et de d'autres si vous êtes à une plus grande distance. Celui-ci préfère une position avantageuse plus foncée, celui-là veut être vu dans la lumière puisqu'il ne sent aucune terreur avant le jugement pénétrant du critique. Ceci satisfait seulement une fois, cela donnera le plaisir même si nous allons de nouveau à lui dix fois plus de. (citant de Traduction en anglais)

Il est important de comprendre que Horace a signifié cette poésie (dans son sens plus large, "textes imaginatifs") mérités la même interprétation soigneuse qui était, en jour de Horace, réservé pour la peinture.

Autant de critiques ont précisé, Horace en fait empruntait à Plutarch's De Gloria Atheniensium une devise bien établie à la laquelle Plutarch attribue Simonides de Ceos: "loquens de pictura de Poema, silens de poema de pictura "(la poésie est une image parlante, peignant une poésie silencieuse).

La formule de Horace, égalisation "arts de soeur,"a prouvé plus souvent un stimulus pour la dissidence que pour n'importe quelle théorisation utile sur le resembance entre les images et les textes.

Lessing ouvre Laocoön (1766) en observant cela "le premier qui a comparé la peinture à la poésie [ Simonides ] était un homme du sentiment fin,"cependant, Lessing indique clairement, pas un critique ou un philosophe. Lessing argue du fait que la peinture est une synchronic, phénomène visuel, un de l'espace qui est immédiatement en sa totalité compris et apprécié, tandis que poésie (encore, dans son sens plus large) est un art diachronique de l'oreille, un qui dépend de l'heure de se dévoiler pour l'appréciation du lecteur. Il recommande que la poésie et la peinture ne devraient pas être confuses, et cela ils sont pratiqués et mieux appréciés "en tant que deux équitables et voisins amicaux."

W. J. T. Mitchell sur un ton incisif observé que "nous tendons à penser que celui comparer la poésie à la peinture est pour faire une métaphore, tandis que différencier la poésie de la peinture est d'énoncer une vérité littérale."

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