Théatre

Théâtre

Scène d’exposition :

- Plante le décor.

- Présente les personnages.

- Met en avant la trame.

- Présente le contexte historique.

- Sentiments des personnages.

Mouvement littéraire :

- Classicisme : XVII, France, linéaire (dessin, contours, limites, fixité), plan (géométrie, ligne droite, verticalité, horizontalité, perspective), fermeture (construction autour d’un centre primat du sujet et subordination des sujets secondaires, unité), unité (loi commune, liens, harmonie, hiérarchie, forts contrastes, 3 unités), clarté (discipline, règle, transparence, lumière) , monde stable (raison, classification des êtres, des sentiments, des caractères), sobriété, simplicité.

- Tragédie : Personnages de rangs élevés, dénouement par la mort.

- Baroque : XVI-XVII, Europe, profondeurs (débordement, évasions, flux, espace tourbillonnant, méandre, spirales), ouverture (fragmentation ou décomposition, perdre le lecteur ou le spectateur, faire appel à son imagination, jeu des possibles), Multiplicité (mélange, interpénétration, nuances, mélange des genres), obscurité (illusion, symbole, approximation, inconscient, mystère), monde instable (instabilité, inconstance, fuite, irrationnel)

Théâtre en 1667 : Pas silencieux, spectateurs expriment les mécontentements et inversement, classes distinguées (riches sur scène, pauvre dans la fosse), manière de jouer très fixe avec des décors et des costumes somptueux.

Types de comique :

- De mots : Exploite les ressources du langage (répétitions, jeux de mots, déformations, recours au jargon, dialecte).

- De gestes : Jeux de scènes provoquant le rire (coups, gifles, bastonnades, chutes).

- De situation : Rencontre fortuites, quiproquos. (Le jeu de l’amour et du hasard, Marivaux fait jouer aux valets le rôle de leurs maîtres)

- De caractère : Psychologie des personnages qui prêtent à rire (avares, jaloux, cocus…)

Formes de la comédie :

- Farce : Courte pièce au comique grossier, utilise des procédés visuels (gestes mimiques…), des quiproquos, un langage trivial, personnages stéréotypés.

- Commedia dell’arte : Improvisation, reconnaissables à leur costume et à leur masque, dramatique) ex : Fourberies de Scapin – Molière.

- Comédie de caractère : Accentue les caractères des personnages et humiliation provoqué par celui-ci. Montre les travers et les ridicules. (Le malade Imaginaire, les Femmes savantes)

- Comédie de mœurs : Au-delà du personnage central, s’intéresse aux travers de la société (libertinage, hypocrisie) Elle s’attaque aux valeurs figées et aux idées toutes faîtes.

- « Grande » comédie : naît dans les années 1630. Cinq actes, vers, respecte règles du théâtre classique, vise une

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