Résumé "Suicides" de Maupassant

L’histoire raconte la vie d’un certain Robert, une personne qui comme beaucoup d’autres se sont donnés la mort, une personne qui n’a que comme seul notoriété de finir dans un journal de presse dans la catégorie faits divers.

L’histoire est centrée autour de la lettre du défunt, dans laquelle il nous explique en avoir assez de la vie, que sa vision autrefois belle et rose du monde n’est plus qu’un océan de malheur et de désespoir. Depuis trente ans, tous les jours il répétait la même rengaine, les mêmes actions, il mangeait au même restaurant, la lassitude absolue l’avait gagné, il en avait assez de sa vie monotone, et répétitive et lamentable.

Chaque jour de sa vie depuis peu, il éprouvait des pulsions meurtrières, des envies de suicide, comme en se rasant par exemple, il éprouve la quasi-irréversible envie de se couper la gorge. Ce soir, il régnait un brouillard épais, il régnait un poids plus lourd que d’ordinaire sur ses épaules, peut-être cela était dû à sa digestion ? Quoi qu’il en soit, ce poids était accentué par sa quotidienne souffrance et détresse. Il était assis, il cherchait à échapper à ses émotions, il décide donc de ranger ses lettres qu’il tasse dans son armoire depuis un long moment, cette pensée ne lui plaisait guère, mais l’idée de ne rien faire était d’autant plus désagréable pour lui.

Il se pencha sur son tiroir, il en extirpa une poignée de lettres jaunis par le temps. Il faisait en sorte de ne pas lire les lettres pour éviter de sombrer dans un océan de souvenirs, dans un gouffre dont il ne sortira jamais, il enchainait les lettres, sans réellement y prêter attention, jusqu’à voir l’écriture de l’une d’entre elles, cela la heurta tellement qu’il tressailli.

C’était une lettre de son meilleur ami, puis une lettre de sa mère et de ses amours passés. Ses souvenirs ramènent à la vie des anciens amis défunts. Les souvenirs sont dangereux, ils peuvent raviver des souvenirs magnifiques tout comme lâcher le câble qui retient la lame qui menace votre cou, pensant aux infirmités et toutes les autres conséquences qu’engrangent la vieillesse, il prit son revolver, le mis sur ta tête, mit le dernier point, qui clôture sa lettre et sa vie, il appuya sur la détente.

...