Répression des infractions

1.1 Grace au paratexte on apprend que l’auteur Jacques Prévert (1900-1977), célèbre poète français défenseur des plus « faibles » à écrit en 1934 le poème « Chasse a l’enfant » qui sera plus tard publié dans un recueil de poème qui s’intitule « Paroles ». C’est un texte qu’il dédie à Marianne Oswald, une amie de ce dernier. Pour écrire ce texte il s’est inspiré d’une histoire vrai, qui s’est déroulé en aout 1934 à Belle Ile en Mer, en effet les enfants d’une e maison de redressement se sont rebellés suite aux mauvais traitements qui leurs étaient infligés, ils ont alors mis le feu aux bâtiments et ce sont enfuient, c’est alors qu’une vrai chasse aux enfants à était lancé sur l’ile, et seulement un enfant n’a pas était retrouvé.

1.2 Le paratexte de cet article nous présente Jacques Bourquin qui est l’auteur de ce dernier publié dans le journal du monde Le monde diplomatique en juin 2002. Il nous explique que les deux ministre monsieur Ferry et monsieur Sarkozy ont révélé la création de centre fermés pour adolescents. Depuis les années 1800 les lois ont étaient hésitante entre peine et éducation, pourtant toutes les expériences d’enfermements ont échouées.

2.1 Ce document appartient au genre poétique, et il est de type argumentatif. Le propos directeur de ce texte est la traque d’un enfant, il prend l’exemple de la mutinerie de Belle Ile en Mer qui s’est déroulé au XXème siècle en 1934 pour être exact.

2.2 Ce document appartient au genre non littéraire, et il est de type informatif et argumentatif. Le propos directeur de ce texte est l’évolution de la position du gouvernement et des lois à propos des jeunes délinquants au fil des années et ce depuis 1800.

2.3 Ce document appartient au genre non littéraire, et il est de type informatif. Le propos directeur de ce texte est le résume d’un téléfilm programmé sur France3 au sujet du triste fait divers de 1934 sur l’ile de Belle Ile en Mer en se plaçant su point de vue des enfants.

3. D’après le document 2, en 1860, répression et incarcération sont les maitres mots, la multiplication de ces institutions fermées pour les mineurs pour de longues peines dans un but d’expiation et de marginalisation de ces derniers. En 1890 le durcissement de la discipline en intensité et en durée est de rigueur, ensuite c’est l’armée qui prendra en charge ces jeunes délinquants grâce aux bataillons disciplinaire. Puis entre le XIX et le XXème l’éducation et la protection de l’enfance sont une des priorités de la IIIème république pour la première fois la psychologie sur la jeunesse délinquante est étudié, aussi en 1912 une loi fonde le premier tribunal pour enfant grâce aux comités de défense des enfants. Un an après la révolte des colons de Belle Ile en Mer et suite à de solides campagnes de presses le vagabondage des mineurs est dépénalisé, et des mesures d’assistance éducative sont prévues. Enfin entre 1937 et 1938 les premières reformes passent avec la collaboration de l’enseignement professionnel. Les jeunes délinquants sont réinsérés dans un cycle pédagogique normal ce qui relèvent alors seulement de l’éducation.

4. La répression de la délinquance est le sujet commun des trois textes qui me sont présenté, « Chasse à l’enfant » de Jacques

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