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Préface " Si c'est une personne " Primo Levi

Fiche de lecture : Préface " Si c'est une personne " Primo Levi. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Janvier 2015  •  Fiche de lecture  •  917 Mots (4 Pages)  •  994 Vues

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Primo Levi est un écrivain du xxèmesiècles, mais est un chimiste avant ça. C’est un juif italien qui fut déporté et emprisonné à Auschwitz le 13 décembre 1944 et qui a été libéré en 1945. Il raconte ce qu’il a subi à travers une autobiographie : « Si c’est un homme » qui paru en 1947. Au cours de ce livre on voit son évolution dans le camp, comment il apprend à survivre et à déjouer les règles du camp. Primo Levi se donnera la mort en 1987. Nous nous demanderons en quoi cette préface donne t’elle les clés de ce témoignage.

On voit au premier paragraphe le thème de la condition de l’homme. « J’ai eu de la chance », il pense que dans ce qui lui est arrivé il a eu plus de chance que certain. « Améliorant sensiblement leur condition de vie et suspendant provisoirement les exécutions arbitraires individuelles » cette phrase justifie ce qu’il qualifie de « chance. Il pense que ça condition de vie a été mieux que les déportés d’avant lui. Il définit aussi ce qu’ils étaient tous pour les Allemands de la « main d’œuvre ». Dans ce thème on peut aussi y ajouter la dernière phrase du texte : « Il me semble inutile d’ajouter qu’aucun des faits n’y est inventé. », il explique que l’homme est capable d’avoir fait subir de telles choses à ses semblables. Au deuxième paragraphe on remarque le thème de la différence et de la tolérance. « L’étranger, c’est l’ennemi » par cette expression il veut faire passer un message. Il dit que dans les esprits même inconsciemment beaucoup de gens en sont convaincus, par son histoire il espère faire disparaitre la xénophobie. Il explique que quand cette xénophobie arrive « lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d’un syllogisme […] au bout […] il y a le Lager ». Il explique qu’une telle idée que celle là peur faire naître des choses horribles. Il demande de la tolérance vis de ce que nous ne connaissons pas. « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme » il veut dire que quand on peut arriver à une violence si forte c’est que l’homme peut être véritablement mauvais. On remarque aussi ce thème à la première phrase du troisième paragraphe. Il demande de la tolérance vis-à-vis de son écriture : « je suis conscient des défauts de structures de ce livre, et j’en demande pardon au lecteur ». Au dernier paragraphe on trouve le thème de l’altérité. On voit que l’auteur à un besoin, il veut raconter ce qu’il a vécu pour essayer d’aller mieux : « le besoin de raconter aux « autres », faire participer les « autres » avait acquis chez nous, avant comme après notre libération, la violence d’une impulsion immédiate ». Dans cette phrase le « nous » représente les prisonniers du Lager, et plus généralement les juifs. « Autre » représente tous ceux qui n’ont pas connu la souffrance des camps de concentration. « Pour fournir des documents à une étude dépassionné de certain aspect de l’âme humaine » par cette phrase il nous explique qu’il a essayé de ne pas porter de jugement mais de

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