Poème « Levez-vous vite, orages désirés »

ntroduction

Sujet amené:

Époque: XIX Siècle

Nom de l’auteur: François-René Chateaubriand

Titre de l’oeuvre: Atala et René

Date et lieu de publication : 1802, Paris

Courant, genre et formes littéraires : Romantisme, mélancolie

Lien avec le contexte : L’amour impossible entre un homme en exil et une femme qui accomplie ses devoirs lors de la Révolution

Sujet posé : L’extrait « Levez-vous vite, orages désirés » nous permettra de démontrer la souffrance du héros, son lien privilégié avec la nature environnante ainsi que son désir d’échapper au mal dont il est atteint.

Sujet divisé : l'instabilité émotionnelle du héros, son lien privilégié avec la nature et la fuite comme solution au mal de vivre

Développenent

1.

A. Sentiment d’abandon et d’instabilité affective

A.1.a) Opposition et divergences dans ces décisions

« J'entrai avec ravissement dans le mois des tempêtes » (ligne 388-389)

Champ lexical des sentiments négatifs : (vide, triste, ignorés, mort et incomplet)

A.2. Évasion comme solution

A.2.a) Sentiment de confiance avec la nature

« Homme […] attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol » (ligne 409-410)

Conclusion

Confirmation : le héros a un instant de souffrance

Synthèse : des 2 éléments élaborés en développement

Le 19e siècle est caractérisé par des événements politiques, tel que l’exile, ceux-ci découlent de la Révolution Française. François René de Chateaubriand a écrit en 1801 un roman autobiographique nommé « Atala et René ». Ce roman marque le début du romantisme en France. L'extrait que nous devons étudier, intitulé "Levez-vous vite, orages désirés...", nous permettra d’observer que René est emporté par une vague de souffrance du mal d’aimé romantique. Nous illustrerons donc le sentiment d’abandon et d’instabilité affective du héros, ainsi que sa quête du bonheur face à la nature.

Tout d'abord, en lisant l'extrait, on aperçoit tout de suite que René passe d'un extrême à l'autre en ce qui concerne ses émotions. En fait, la contradiction de ses sentiments est telle que l'on peut discerner une certaine perte de logique dans le raisonnement du héros. L'opposition "J'entrai avec ravissement dans le mois des tempêtes" montre bien la contradiction émotive de René. Également, l'alternance entre deux idées différentes « Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers errant (...), Tantôt j'enviais jusqu'au sort du pâtre que je voyais

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