Plan le lac

1er paragraphe = 1re idée principale

Dans un premier temps, le poème de LaMartine représente la nature comme une confidente.

1re idée secondaire

D’une part, le narrateur s’adresse à la nature comme à une amie.

Illustrations : personnification « Ô lac! » (l. 5) et « Regarde! » (l. 7) « Un soir, t’en souvient-il? » (l. 13)

2e idée secondaire

D’autre part, le poète confie à la nature qu’il s’ennuie de sa dame.

Illustrations : points d’exclamation qui mettent l’accent sur l’ennuie « Regarde! Je viens seul m’asseoir sur cette pierre Ou tu la vis s’asseoir! » (l.7-8)

Vocabulaire connoté qui montre l’amour de l’être perdu « Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. » (l. 11-12)

2e paragraphe = 2e idée principale

Dans un deuxième temps, la nature réflète les sentiments du narrateur.

1re idée secondaire

D’abord, lorsque l’auteur est nostalgique, la nature est paisible.

Illustrations : Ton lyrique exprimé par les verbes au passé « Un soir, t’en souvient-il? Nous voguions en silence […] [sur] Tes flots harmonieux. » (l. 13-16)

Mot connoté explicite qui exprime l’état de la nature « Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! » (l. 51-52)

2e idée secondaire

Ensuite, lorsque le narrateur revient au douloureux présent, la nature est souffrante, elle reflète sa peine d’amour.

Illustrations : personnification, vocabulaire connoté « Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : Ils ont aimé! » (l. 61-64)

3e paragraphe = 3e idée principale

Finalement, la nature console le narrateur dans son malheur.

1re idée secondaire

Premièrement, la nature le rend heureux car elle lui rappelle ses souvenirs.

Illustrations : souvenir nostalgique « Un soir, t’en souvient-il? Nous voguions en silence […] [sur] Tes flots harmonieux. » (l. 13-16)

Rappelle sa femme « Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère Laissa tomber ces mots : […] »

2e idée secondaire

Deuxièmement, il confie ses souvenir à la nature pour qu’elle les préserve.

Illustrations : ton impératif « […] gardez, belle nature, Au moins le souvenir!

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