Plan D'analyse Les Grandes

Écrivain québécois né le 23 septembre 1937 à Saint-Gédéon-de-Beauce, Jacques Poulin est reconnu aujourd’hui comme étant l’un des auteurs les plus importants du Québec. Grace à son style d’une simplicité efficace, son roman est très facile à lire. Dans ce livre, on fait la connaissance d’un personnage qui a trouvé son paradis et y vit paisiblement. Toutefois, des nouveaux habitants viennent s’installer sur l’ile où il habite et changent son univers du jour au lendemain. En effet, dans la création de son œuvre, qui représente très bien la vraie réalité de nos jours, soit le fait qu’un paradis sur terre ne peut exister longtemps, l’auteur tente de critiquer en quelque sorte cette société moderne. Dans cette analyse, on analysera… Dans les lignes qui suivent, il sera d’abord question de…

Deuxièmement, examinons la description subtile du désespoir que fais le personnage dans cet extrait. Tout d’abord, comme je l’ai déjà mentionné plus haut, la jeune femme fait probablement illusion de ce qu’est sa vie en racontant cette anecdote, puisque dans le roman elle n’en parle pas beaucoup. Cela dit, on pourrait en déduire que le grand Onychoteutis évoque le désespoir de Marie, dans la réalité. Si l’on retient cette hypothèse, on peut bien ressentir la détresse intérieure du personnage à travers la comparaison suivante : «Il a […] des ventouses grosses comme […] des assiettes a tarte. » En effet, en utilisant ce procédé stylistique, qui compare les ventouses du calmar à des grosse assiettes, nous pouvons mieux voir a quel point Marie est devenue la proie du désespoir. Effectivement, tout comme cet animal qui attrape ces victimes avec ses tentacules, le personnage se sent immobiliser par se sentiment qui l’agrippe de toutes ses forces avec ses grosses ventouses. Par conséquent, elle le craint et le qualifie même d’ « un lutteur redoutable ». Ensuite, nous pouvons encore nous apercevoir de son tourment avec le passage qui suit : «Ça n’a pas l’aire d’exister. Ni l’un ni l’autre.»Ici, la jeune femme disait qu’il ne pouvait pas y avoir une vie normale ainsi qu’un homme normal. Compte tenu de ce qui précède, on peut supposer que Marie est tourmenter et n’arrive pas à trouver le juste milieu. De fait, elle risque de se sentir encore plus triste. En somme, c’est à cause de ces motifs si le personnage se sent dépressif dans ce chapitre.

En conclusion, nous pouvons mieux comprendre cette histoire du cachalot, qui a premier vue n’est qu’un récit banal, pour finalement saisir ce message «codé» que le personnage tente de ne faire parvenir. Dans le font, Marie éprouve un vif désespoir dû au fait qu’elle ne sait plus où exactement elle est rendue dans sa vie. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas une raison pour baisser les mains, car dans cette vie, à chacun lui arrive ce qui doit lui arriver, et si on reste fort, on surmontera les épreuves devant nous !

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