Pierre Corneille
Mémoire : Pierre Corneille. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Morwin • 24 Septembre 2014 • Mémoire • 835 Mots (4 Pages) • 562 Vues
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Dernière modification il y a 2 jours par NicoScPo
Pierre Corneille
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Pierre Corneille
Pierre Corneille
Nom de naissance Pierre Corneille
Autres noms « Le grand Corneille », « Corneille l'aîné »
Activités Dramaturge, poète
Naissance 6 juin 1606
Rouen, Royaume de France
Décès 1er octobre 1684 (à 78 ans)
Paris, Royaume de France
Langue d'écriture français
Mouvement baroque et classicisme
Genres tragédie, comédie
Œuvres principales
Le Cid
L'Illusion comique
Cinna
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Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l'aîné », né le 6 juin 1606[1] à Rouen et mort le 1er octobre 1684[2] à Paris (paroisse Saint-Roch), est un dramaturge et poète français du xviie siècle.
Issu d'une famille de la bourgeoisie de robe, Pierre Corneille, après des études de droit, occupa des offices d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique (Médée), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie historique — il fut le dernier des poètes dramatiques de sa génération à le faire —, donnant ainsi ce que la postérité considéra comme ses chefs-d’œuvre : Horace, Cinna, Polyeucte, Rodogune, Héraclius et Nicomède.
Déçu par l'accueil rencontré par Pertharite (1652, pendant les troubles de la Fronde), au moment où le début de sa traduction de L'Imitation de Jésus-Christ connaissait un extraordinaire succès de librairie, il décida de renoncer à l'écriture théâtrale et acheva progressivement la traduction de L'Imitation. Plusieurs de ses confrères, constatant à leur tour que la Fronde avait occasionné un rejet de la tragédie historique et politique, renoncèrent de même à écrire des tragédies ou se concentrèrent sur le genre de la comédie. Tenté dès 1656 de revenir au théâtre par le biais d'une tragédie à grand spectacle que lui avait commandée un noble normand (La Conquête de la Toison d'or, créée à Paris six ans plus tard fut l'un des plus grands succès du siècle), occupé les années suivantes à
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