Petit Journal d'une infirmière en chocolat de Phytos

Pollet Danny

Fiche de lecture pour la validation de l'unité d'enseignement 6.1

Petit Journal d'une infirmière en chocolat de Phytos

Institut de formation en soins infirmiers

Promotion Monet 2015-2018

J'ai choisie comme livre « Petit journal d'une infirmière en chocolat » de Phylos Phylos qui comprends 198 pages. Cet homme est né en Suisse en 1969, il a aussi écrit des pièces de théâtres, il à également écrit un autre livre du nom de « Pluie oblige ». L’œuvre que j'ai choisi d'étudier « Petit journal d'une infirmière en chocolat » est un roman qui aborde les thèmes de la société et l'humour sorti en 2013 et édité par la maison d'éditions Edilivre Classique Collection.

C'est Sophie, le personnage qui exerce la profession d'aide soignante en Suisse. Elle est célibataire et n'a pas d'enfants. Ce récit nous expose son métier, nous présente ses collègues, les patients présent dans le service dans lequel elle travaille. Cette œuvre ressemble à un journal intime que beaucoup de personnes ont, où l'on ecrit souvent nos émotions, ce qui nous a marqués ou parfois de simples constatations.

Le mot « Infirmière » représente un métier du domaine paramédical que l'on retrouve en milieu hospitalier public ou privé, sur lieu de vie, etc...

Le mot « Chocolat » représente souvent un péché mignon, c'est une petite douceur sucré que beaucoup de personnes aime et qui peut nous faire remémorer plein de choses.

L'association des deux mots « Infirmière en chocolat », fait que l'on peut y associer les mots : fort , doux, amer, sucré, riche, bon, délicat etc...

Ce qui me fait penser que cette œuvre ressemble énormément à un journal intime est le fait qu'on y trouve les sentiments ressentis par Sophie, notre personnage principal.

La Suisse est réputé pour son chocolat et ce dernier est souvent un petit présent offert au personnel soignant. C'est très certainement ce qui à inspiré le tire à l'auteur le titre. Les actions de ce récit se situe dans les années 2000 d'après moi, je juge de cela en me basant sur le fait qu'on remarque la présence de sac à déchets d'activités de soins à risques infectieux (Sacs DASRI).

Voici un petit extrait qui à conforter mon idée que les actions se déroule dans les années 2000 :

 « La toilette mortuaire commence, Mimi retire la sonde urinaire du patient qu'elle jette en visant juste dans le fameux sac jaune posé entres les jambes du défunt » page 93.

Les actions se déroulent principalement dans un hôpital Suisse situé à Neuchâtel « Retour à Neuchâtel » page 195, mais le service n'est pas précisé. C'est un service très agité et mouvementé, entre les sonnettes des patients, les chariots dans les couloirs poussé ou presque trainés par les soignants selon leurs niveau de fatigue.

Ici nous rencontrons Sophie Menet, une aide soignante âgée de 35 ans et d'origine Fribourgeoise. Elle ne se considère pas comme une femme à la beauté renversante mais plutôt classique.

Elle est réaliste, franche, drôle, sarcastique mais aussi parfois défaitiste. Elle travail avec Marie Heugène une infirmière qui à la cinquantaine et qui as une assez forte corpulence. Elle est mariée, mère de deux enfants qui sont en fin d'études. Elle n'adopte pas un comportement dit sage qui pour elle devrait être adéquat vu son âge.

Puis il y a Francine Janmar, une aide soignante de 48 ans, divorcée et mère de deux enfants. Son physique rend toutes ses collègues jalouse. Elle gentille, pétillante, elle garde tous pour elle ne parlant jamais de ses problèmes.

Ensuite, nous avons Marlène une mère de famille présente sur tout les fronts aussi bien à la maison qu'au travail. Elle est un peut autoritaire mais compatissante quand il le faut comme par exemple avec Francine lorsqu'elle a appris le suicide de son père.

Nous rencontrons aussi Lili, une veilleuse de 56 ans qui physiquement n'attire pas l'attention, elle est célibataire et sans enfant. Elle est le parfait clichés de vielle fille stricte.

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