Critique du livre Illusion de Simon Tremblay-Pépin dans Le petit manuel pour une critique des médias

Le petit manuel pour une critique des médias, Illusions, est un livre de Simon Tremblay-Pépin. Il s’agit d’une critique du monde des médias, un monde dans le lequel monsieur Tremblay-Pépin a eu la chance d’évoluer. Son expérience c’est mal terminé, il éprouve maintenant un certain dégout face à cette univers. Il critique ce qu’est devenu le monde des médias et ce que ce monde a toujours un peu été. Le livre est divisé en cinq partie où il parle e l’idéal journalistique, où il fait des critiques déontologique, où il présente le modèle propagandiste d’Herman et de Chomsky, où il traite des critiques bourdieusiennes et finalement où il traite des critiques gramsciennes. Bien que très complet, le petit manuel montre quelques faiblesses.

Premièrement, le livre présente extrêmement bien le problème des médias de notre époque, soit la concentration des médias et leurs fins à but lucratif. Cependant, il ne fait qu’exposer le sujet sans vraiment y donner de solution. À quoi bon cerner un problème, sans amener de solution. Un problème n’est pas réellement un problème s’il n’y a pas de meilleur monde atteignable. Lors de la rencontre en classe, il a proposé des pistes de solutions. Ceci aurait été très intéressant à intégrer dans le livre. Le lecteur, qui se sent peut-être interpellé, aurait donc, déjà des pistes, des bases, d’actions réalisables.

Deuxièmement un second problème retrouver dans le livre est sans doute le manque de présence d’opinion de l’auteur. Il aurait dû, faire ressortir son opinion surtout lors des derniers chapitres où il fait que s’inspirer de texte et théorie écrite par d’autre. Il aurait pu offrir sa penser face à ce qu’il écrivait au travers du livre au lieu de uniquement déverser au lecteur ce que d’autre ont pensé. Ceci aurait probablement donné un peu plus de contenu au livre et le lecteur aurait pu forger son opinion plus facilement par rapport à ces passages. Avec le livre, le lecteur est laissé à lui-même dans une vaste mer d’information.

Troisièmement, il y a une incohérence entre le publique cible et le niveau de langue utilisé. Lors de la rencontre que nous avons eu avec lui, il nous a affirmé que son livre était destiné à des élevés du cégep où de l'université. Il utilise parfois des termes d’un niveau supérieur et joue avec un vocabulaire plus poussé que certaine personnes de ce groupe d’âge ne pourrait comprendre ou bien apprécier. Ceci va à l’encontre de ce qu’il défend et du but de son manuel, aidé les gens à se protéger contre les médias et tenter de créer chez les lecteurs un envie de changer les choses. Il faut, si tel est le but, utiliser un langage disponible à tous, que tous lecteurs comprendront aisément. Bien que très bien organisé et structuré, le niveau de langage rend le livre «lourd» et fait perdre l’envie au lecteur de lire le livre, qui traite dans les faits d’un sujet extrêmement important. Il faut parfois simplifier les choses pour toucher le plus grand publique possible et la, réellement créer un engouement autour du changement social, que le livre tend à réclamer. Tous ce changement commence par le publique, offrons leur donc quelques choses d’accessible à tous.

Quatrièmement, une autre faille dans le livre est sans aucun doute l’absence des médias sociaux. Comment ne pas parler du phénomène

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