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Malaise dans la civilisation- Sigmund Freud

Fiche de lecture : Malaise dans la civilisation- Sigmund Freud. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Juillet 2018  •  Fiche de lecture  •  1 727 Mots (7 Pages)  •  2 147 Vues

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Le Malaise dans la civilisation-Sigmund Freud (1930)

Biographie Sigmund Freud (1856-1939) :

La vie de Freud est marquée par l’élaboration de la psychanalyse. Médecin neurologue viennois i s’associera à Josef Breuer pour lutter contre l’hystérie. Il développera cependant seul toute l’approche du psychisme humain qui fut révolutionnée par la publication en 1900 de « L’interprétation du rêve ».

En se basant sur son auto-analyse, sur les rêves de ses patients, ou encore les récits de ses proches il dévoilera la logique inconsciente de la vie onirique.

Soucieux de diffuser la psychanalyse dans le monde il créera une association pour lutter contre les abus qui pourrait être fait à son égard. Il sera alors l’objet de vives critiques car la psychanalyse va à l’encontre des croyances traditionnelles (rigueur morale, sexualité, connaissances).

Au début de la première Guerre Mondiale il commencera alors à s’inquiéter du rapport à l’être humain à la direction. Le récit « Malaise dans la civilisation » (1930) se souciera de la possible politique d’extermination naissante chez Hitler et d’une possible seconde guerre mondiale.

Fiche de Lecture :

Chapitre I :

  • Critique sur la vision qui ne vois pas les choses à la bonne mesure ; Pose la question du rôle du désir dans cette erreur.

  • Il ne trouve pas la source de la religiosité ce qui pose la question de la délimitation du soi et du monde extérieur.
  • Moi : reconnaît « un dehors »évolution.,

Il pose alors le moi comme le tout avec des choses qui disparaissent ce qui crée la délimitation avec le monde extérieur. (Expl : visiteur armée de connaissance se souvient de tout ce qu’il a vu mais ne peux le représenter concrètement alors que la ville ne se souvient même plus de ses destructions mais représente son soi concrètement seulement.)

  • Conservation de notre passé ne ce fait que d’un point de vue psychique et non concret. Dans le concret les souvenirs ne peuvent exister car ils sont remplacés par juxtaposition par le présent.

  • Conclu ce chapitre en posant la source du sentiment religieux comme océanique car elle n’a pas de délimitation ne percevant aucun danger d’où sa perception non concrète.

Chapitre II :

« Qui possède science et art a aussi de la religion ; qui ne possède ni l’une ni l’autre, qu’il ait de la religion » Goethe, Xénies domestiqués IX

  • Vie fardeau  3 sédatifs qui servent à modifier la perception de l’environnement               par l’organisme :
  • Divertissement : Satisfaction de remplacement
  • L’activité scientifique
  • Les stupéfiants

  • Freud soulève que la religion influe sur la finalité delà vie de l’Homme et son état psychique eux même contrôlés par le bonheur ce à quoi chaque Homme aspire.

« il n’y a , encore une fois, que la religion qui sache répondre à la question d’une finalité de la vie »

  • Bonheur : Il pose de cette manière le bonheur comme contraire à la création c’est   pourquoi chaque Homme est en recherche constant de ce dernier. Il définit le bonheur comme un contraste et non comme un état car en tombant dans l’état on prend une habitude qui atténue le bonheur provqué.

  • Malheur, bcp plus simple à obtenir (3 voies) :

                           

  1. Notre corps décomposition naturelle
  2. Monde extérieur déchainement des forces extérieurs
  3. Relation humaines (la pire)

C’est donc plus une quête de non souffrance qu’une quête de bonheur qu’entretien l’Homme. Une quête qui passe par :

  • Maitrises des besoins internes : On demande moins à soi-même qui baisse la déception mais qui baisse aussi la jouissance

  • Les déplacements des puissances : Source de travail devient plus atteignable (Expl : Le désir)
  • Bonheur  satisfaction des pulsions propres à chacun.

Chapitre III :

  • Mal faits des civilisations  mal compréhension à l’encontre des autres (Expl : des rencontres avec les société)

  • Contrôle de la nature par l’Homme = origine du malaise par l’Homme dans sa civilisation.
  • Civilisation : Somme des actions et dispositifs dans lesquels notre vie s’écarte de nos ancêtres. Opposé de la barbarie. Freud souligne de plus ses bienfaits sur l’Homme. (Lunettes, locomotions.)
  • Société civilisée :
  • Elle dispose de tout ce qui est utile à l’Homme (protection, plaisir, propreté, ordre, beauté).
  • Ainsi que la considération de la réflexion de ses individus (religion).
  • Elle est aussi caractérisée par la façon dont sont liés les gens entre eux. Elle met en avant le pouvoir d’une communauté et non de l’individu ainsi que l’ensemble des sacrifices de pulsions et de liberté individuelles de chacun.
  • Sans cependant être-là voix vers la perfection elle Ets propre à l’humanité et a pour but la satisfaction des pulsions de ses individus.

Chapitre IV :

  • Freud fait l’analogie entre familles primitives et civilisation en montrant que comme dans une famille une civilisation se forme à partir de fils plus fort qu’un individu le père et c’est donc une communauté qui dirige et non l’individu.

  • Raisons de la vie en civilisation quête vers le bonheur :                            

Obligation de travailler      

Force de l’amour (objet sexuel, enfants peut aussi être la pire souffrance : le rejet)

  • L’amour peux cependant aussi jouer le rôle de destructeur la civilisation car ceux qui s’aiment se renferme sur eux même et s’excluent de la civilisation.

Renoncement à une pulsion sexuelle.

Chapitre V :

  • Refus de la vie sexuelle : source de souffrance.

Dans un soucis de cste évolution du lien social  intensification des liens libido=restriction de la vie sexuelle obligé par les règle de la société.

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