Madame Pernelle

• Questions portant sur le corpus

1) Dans le texte 1 Madame Pernelle est représentée comme une snobe qui se croit supérieur a ses petits-enfants “Dans toutes mes leçons j’y suis contrariee; on n’y respecte rien [….](l.10) . Elmire, sa fille, essaye de lu i faire changer d’ avis sur eux mais Madame Pernelle ne ai laisse pas parler « Elmire : Mais sa mère ….

Madame Pernelle : Ma bru, […](25-26)

Damis,le frère d’Elmire est sarcastique « Votre Monsieur Tartuffe est bien heureux sans doute…. » (l.45-46) et il est le plus aime par Madame Pernelle.

Dans le texte 2, Agannemon le roi des Argos est pose par un dilemme ; Tuer (sacrifier) sa fille Iphigénie ou perdre la Guerre. Arcas, son confident, qui le respecte, essaie de changer l’avis d’Agannemon. »Sacrifiez Iphigénie » (l62). « Seigneur… (40). Dans le texte 3, le seul personnage qui est évoque mais qui n’est pas présent sur scène est Œdipe.Antigoneest représenté comme une fille pas très belle, maigrichonne et réservée mais sans savoir pourquoi elle est aimée par Hémon, qui lui est gai mais elle triste. Hermaine, la sœur d’’Antigone, est totalement son contraire ; elle est belle, blonde, sociable, aime la danse et les garçons. Creau, le père de ces filles est un homme triste qui involontairement a du prendre la responsabilité d’être roi, mais était auparavant un homme heureux…..

2) Le texte 1, met le lecteur en situation d’apaisance, fait appel a la comédie, l’ironie, le sarcasme. Le texte 2 met en suspense partielle parce que quelques indices nous révèlent qu’à la fin Iphigénie va mouir « sacrifice Auguste », « ensanglantant » « secret sacrifice ». Dans le texte 3, on connait tout sur le personnage d’Antigone, Qu’elle va mourir et elle-même le sait m mais pas l’autre personnage. Elle est victime de sont sort « Elle pense qu’elle va mourir’, « El ne savait pas qu’il ne devait jamais avoir un mari d’Antigone »

3) Dans le texte 2 on prévoit le sort de la fille d’Agamemnon, Iphigénie. Elle va être sacrifiée, « ensanglantant l’autel », « sacrifice auguste », »secret sacrifice », « pleurs », « malheur ».

Dans le texte les lecteurs et Antigone connaissent son sort, elle va mourir, « Elle pense qu’elle va mourir », elle est juste de son sort « il n’y a rien à faire ».

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