L’écrivaine Amélie Nothomb
Rapports de Stage : L’écrivaine Amélie Nothomb. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar tipjean • 15 Avril 2015 • 798 Mots (4 Pages) • 1 481 Vues
Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont obligé aux Japonais adaptés un système
démocratique. Depuis 1945, l’économie du Japon a créé de grands groupes économiques
automne. L’écrivaine Amélie Nothomb, du courant postmodernisme, présente son retour du
Japon et son expérience dans l’une de ces grandes entreprises japonaises dans l’un de ces
romans. Le courant postmoderniste utilise le thème de la quête de l’identité dans les récits.
Dans stupeur et tremblement, d’Amélie Nothomb, présente une triple quête identitaire. Nous
étudierons trois quêtes identités de la narratrice comme son identité japonaise à son
environnement, la différence de son point de vue de la femme à celle du japonais et de
l’identité de l’écrivaine.
Littérature et imaginaire 601-102-MQ (60.1)
Dev4D 3
À première vue, Nothomb présent la passion de la narratrice vers la culture japonaise par une
des trois quêtes pour affirmer son identité japonaise à ces collègues de travail. L’auteur
présente l’admiration de la culture japonaise de la narratrice avec son enfance heureuse au
Japon. Ces souvenirs sont la cause de son retour au Japon : « l’évocation de ces lieux
mythologiques me mettait les larmes aux yeux ». C’est ainsi que l’auteur présent le début de la
recherche de l’identité japonaise de la narratrice grâce à ces souvenirs d’enfance. De plus, la
référence vers la mythologie a pour but de décrire le japon qui confirme l'objective que le
personnage voudrait ressembler. Ensuite, Nothomb oppose l’identité japonaise de la narratrice
à celle de ces collègues de travail. La narratrice essaie de présenter ces connaissances de la
culture japonaise en parlais japonais à son travail : « Je vous donne l’ordre de ne plus
comprendre le japonais ». La narratrice a subi un rejet identité par les autres collègues. Par
conséquent, ce rejet informe le refus des Japonais, car elle n’est pas origine japonaise. Pour
conclure, un individu qui n’est pas japonais ne pourra pas acquérir une identité japonaise.
Ensuite, l’auteur montre la seconde quête identité en opposant la vision de la femme de la
narratrice à celle de la femme japonaise. L’opinion de la narratrice démontre une résistance
acquérir contre l’identité de la femme japonaise. Elle utilise les mots comme «immonde »,
« vulgaire » et « putain » pour définir l’atrocité de c’est pensé vers l’identité de la femme
japonaise. La narratrice essaie d’avoir une identité japonaise sans d’avoir celle de la femme
japonaise. On constate le mépris de l’identité de la femme au Japon. C’est ainsi que l’auteur
présent
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