Louons maintenant les grands hommes
Dissertation : Louons maintenant les grands hommes. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Lorenzo Grandoni • 9 Février 2018 • Dissertation • 1 868 Mots (8 Pages) • 490 Vues
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Lorenzo Maria Grandoni
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D'apres avoir flotté avec ma letture en Alabama au milieu des champs de cotton, de nuits
insomnies, de la disperation et de la misère; et Après de m'être convencu en regardant les
photos que tout ça, même s'il ressemble si loin, c'est vraiment passé, j'essaierai de
répondre à ce remarque.
D'abord je voudrais parler des photos de Walker Evans, en essayant pas seulement de
remarquer une radicalité artistique, mais les impressions, les sentiments et l'humanité de
cettes images. En suite je voudrais parler du texte de James Agee que doucement avec sa
plume à écrit et montré au monde si égoïste une réalité humile Et humilié en lui donnant
sacralité. Enfin c'est inévitable essayer de tratter l'oeuvre comme elle est présenté, dans sa
transtexualité entre photos et texte pour avoir une analyse plus complete, et pour essayer
de montrer comme l'ouvrage qui vis de deux différents types d'expressions soit le résultat
d'une réciproque mis en relief de ce deux différents façons de s'exprimer.
Ma dissertation serait le résultat d'impressions et de tout ce que j'ai compris et j'ai pu
apprendre en voyageant avec cette ouvrage.
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Immeubles dans les pages blanches du livre des hommes nous regardent. Dans la société
d'aujourd'hui, dans notre monde de surproduction, on a pas l'habitude de regarder des
similaires photos et si par hasard on le regarde on pensera que c'est quelque chose de loin,
que on est sur dans notre maison, dans notre ville car la société de tout les jours on a
donné égoïstement la croyance d'être la partie meilleure du monde. Et peut être qu'ils ont
pensé la même chose les éditeurs qui de 1938 au 1940, au milieu du comfort offert par le
capitalisme New Yorkaise, ils ont refusé de publier cette ouvrage. Mais que c'est que
elles représentent cettes photos?
Les sujets de cettes photos, ces hommes, cettes dames, ces enfants qui partagent la misère
des parents ils sont la, ils ont vecu et lutte pour survivre, ils ont occupé une place sur la
planète, oubliés dans le campagnes de l'Alabama. Elles représentent alors tout
simplement une réalité, une lutte pour survivre contourné de misère.
Les photos d'Evans, qui seront l'inspiration pour plusieurs d'autres artistes du XXÈME
siècle, sont des photos nues, directes, qui n'ont pas besoin de trouver la prospective
insolite, rare ou le paysage incroyable: les personnes représenté sont déjà emblématiques
en soi, les objets et tout ce qu'est immortalisé sont emblématiques. Evans est fasciné par
la banalité, le quotidien, et serait l'emblématique banalités des humiliés, grands
protagonistes des campagnes pendant la Grande dépression son vertigineux apport à
l'ouvrage.
Visages fatigués, consommés par le sueur et la faim, les vêtements de tous les jours si
cabotte et sales mais porté avec une dignité royale, les regards des hommes qui
combattent contre la vie et contre l'injustice de l'histoire laissent remarquer aussi un
sentiment d'humiliation avant à la propre femme, à laquelle ils n'ont pas garanti une vie
prospère, à leurs enfants, qui sont né dans une situation de laquelle ils ne pourront pas
échapper et nous regardent avec un regard pour lequel j'ai passé beaucoup de temps à
chercher un adjectif pour le qualifier et j'ai trouvé que triste, oui, les enfants si
directement photographe ils ressemblent tristes. Mais tous sont tristes.
En se laissant conduire pour sa fascination vers la banalité et le quotidien, Evans ne
montre pas seulement les protagonistes: parler D'une situation sociale signifie prendre
tout dans l'ensemble. En fait les familles du Sud vivent dans une situation commune qui
réfléchi leur damnation. Armé de sa camera Evans immortalise les instruments de vie des
familles, les lieux où ils partagent leur quotidianite, plongés dans la fatigue des camps, le
maison si vides et cabotte strictement en bois comme presque tous dans la maison, les
photographies attachés dans le mur d'une famille que cherche de vivre d'un façon
digniteuse
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