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Littérature maghrébine

Fiche de lecture : Littérature maghrébine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Juin 2017  •  Fiche de lecture  •  612 Mots (3 Pages)  •  816 Vues

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 La littérature maghrébine

Lorsqu’on évoque littérature maghrébine c’est automatiquement une littérature francophone. C’est écrire en français en parlant de sa propre culture.

« La francophonie signifie simplement aujourd’hui que la langue française réunit miraculeusement un certain nombre d’écrivains de par le monde. »

La littérature maghrébine d’expression française est un vaste chantier ou s’unissent des œuvres provenant des pays maghrébins. C’est une littérature qui est apparue entre les deux guerres mondiales. Alors elle est née grâce au colonialisme. Elle unit des écrivains maghrébins qui écrivent en français.

Une littérature née en plein guerre, normalement elle doit être une littérature de prise de conscience pour défendre sa nation alors que c’était tout à fait le contraire.

Si j’ai écrit en français, c’est que je voulais montrer à l’ « occupant » qu’un Marocain pouvait être au même niveau qu’un Français dans ce domaine délicat qu’est l’écriture. La seconde raison, c’est qu’il y avait à l’époque beaucoup plus de lecteurs francophones qu’arabophones. »

Les critiques et les grands intellectuels ont fustigé et critiqué acerbement les écrivains maghrébins qui ont produit des écrit folklorique Ses écrit étendus jusqu’à 1966 ont était figés par des appellations dépréciatives littérature exotique ou ethnographique, » car selon ces critiques, ces écrivains ont suivi la trace des missionnaires. C’est le cas par exemple d’A.SEFRIOUI qui a été classé par une sorte de consensus propre à l’idéologie dominante.

Puisque « dès (que) le regard s’attache a la vie quotidienne devient nécessairement ethnographique. »

Par contre quelques uns explique l’absence totales des français dans les écrit maghrébins surtout SEFRIOUI n’est pas un désengagement vis-à-vis du protectorat, mais plutôt une volonté de négation de l’autre qui est le colonisateur.

- A notre gauche se dresser un portail monumental orné de clous et de marteaux de bronze d’un très beau travail.

- Mé, dis-moi, à qui appartient cette maison ?

- Ce n’est pas une maison, c’est un bureau de chrétiens

- Je vois des musulmans y entrer

- Ils travaillent avec les chrétiens. Les chrétiens mon fils, sont riches et paient bien ceux qui connaissent leur langue.

- Est-ce je parlerai la langue des chrétiens quand je serai grand ?

- Dieu te protège, mon fils, de tout contact avec ces gens que nous nous connaissons pas »

Cependant comme a dit Jean Déjeux

« Le fait de parler de la littérature maghrébine, algérienne, marocaine, tunisienne, cela reste ambigu. »

On ne peut jamais cerner sa définition d’une façon définitive et stricte.

La langue française et le maghrébin constituent un principe d’ouverture et de l’interculturelle à savoir que le Maghreb et la langue française,

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