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Lettres Persannes

Commentaire de texte : Lettres Persannes. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Novembre 2019  •  Commentaire de texte  •  594 Mots (3 Pages)  •  402 Vues

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Français

Lettre 50:

Au travers de la lettre 50, Montesquieu pointe du doigt la vanité et l’orgueil de certaines francais. « Je vois de tous côtés des gens qui parlent sans cesse d'eux-mêmes; leurs conversations sont un miroir qui présente toujours leur impertinente figure » (ligne 12 à 14).

Lettre 77:

Au travers de la lettre 77, Ibben écrit à Usbek qu’il vaut mieux souffrir pour ressentir la présence de Dieu. « Mon cher Usbek, il me semble que, pour un vrai musulman, les malheurs sont moins des châtiments que des menaces. Ce sont des jours précieux bien précieux que ceux qui nous portent à expier les offenses »( lignes 1 à 3).

Lettre 83:

Dans cette lettre, Usbek critique la religion car il lui reproche de s'attribuer toutes les bonnes valeurs de l'homme qui lui sont en fait naturelles, et qui ne changeraient pas qu'il y ait un Dieu ou pas en séparant en deux parties distinctes sa lettre: une avec un Dieu et la seconde sans. De plus, lors de la conclusion de la lettre, Usbek dit que la justice et la religion ne vont pas ensemble et que la justice que l’on y croit ou non, est éternelle car il s’agit d’une institution créée par les hommes servent à les guider lorsque l’interêt personnel pourrait primer.  « Si j'étais sûr de suivre toujours inviolablement cette équité que j'ai devant les yeux, je me croirai le premier des homme. »

Au travers des lettres 50,77 et 83, Montesquieu critique les français ainsi que la religion. Dans la lettre 50, Montesquieu émet une critique de l’orgueil et la vanité de ces derniers: « Je vois de tous côtés des gens qui parlent sans cesse d'eux-mêmes; leurs conversations sont un miroir qui présente toujours leur impertinente figure » (lignes 12 à 14). Dans les lettres 77 et 83, Montesquieu critique le religion en disant dans la première que pour certain, souffrir est nécessaire afin de ressentir la présence de Dieu « Mon cher Usbek, il me semble que, pour un vrai musulman, les malheurs sont moins des châtiments que des menaces. Ce sont des jours précieux bien précieux que ceux qui nous portent à expier les offenses »( lignes 1 à 3).

La seconde lettre apporte quand à elle une vision tout à fait différente de la place de la religion, en effet, Usbek critique lui la place de la religion dans une société par rapport à la justice. Usbek dit que la religion s’attribue toutes les bonnes valeurs de l’homme qui lui sont naturelles et qui ne changerais pas, qu’il y ai un Dieu ou non. De plus, Usbek indique que la religion n’est éternelle, contrairement à la justice qui elle, a été créée par des hommes afin de guider lorsque l’intérêt personnel pourrait primer. « Si j'étais sûr de suivre toujours inviolablement cette équité que j'ai devant les yeux, je me croirai le premier des homme. »Même si le pouvoir n'arrête pas le pouvoir, s'il y a plus d'hommes dont l'âme se prend aux délices de la domination que d'esprits modérés, il y a des règles qui sont des traces de la raison humaine, en dehors même de leur volonté.

Lettre 125:

Dans cette lettre, Montesquieu condamne férocement le mariage et la vie conjugale. Cette lettre est en fait une anecdote composée de deux parties: la première où la femme souhaite se bruler mais où on lui refuse et la seconde où, Montesquieu fait preuve d’humour car, le bronze en cherchant à faire en sorte qu’elle se brule pour rejoindre son mari au paradis, va lui en enlever le désir.

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