Lettre au choix

Rédaction

Parent

Mathéo

2°G

    J‘eus alors une réaction discrète et je fus comme-ci de rien était, comme-ci je n‘avais que ramassé ma fourchette. La suite du dinner resta comme avant, c‘est-à-dire que je regardais toujours ma bien aimée, et m‘imaginais notre histoire plus tard, si on allait se marier ou avoir des enfants et un chien. A mes yeux, cette femme était la seule que je puisse aimer et que le reste de ma vie allait réster la même. La fin du rendez-vous arriva, et je vis ma maîtresse, Charlène, murmurer quelque chose au jeune homme. Cela me mis dans tout mes états et furieux, j‘allas voir Charlène et lui déverça un tas de question dessus. La premiere fut „Qui est cet homme ?“ , la réponse que me donna Charlène était absurde, elle me dit qu‘il s‘appelais Arthus et que s‘etais son cousin. Chose à laquelle je répondis par la deuxieme question qui étaait „Alors pourquoi avais tu ton pied sur le siens ?“ D‘un air étonner elle répondit qu‘elle n‘avait pas remarqué.

    Le chemin du retour fut mouvementé je crachais des injures à Charlène, choses que je regrettes. La nuit, je dormis sur le sofa. Et le matin, au lieu de boire mon café à la maison, je suis allé au Café du coin et j‘ai bu ma boisson avec des amis qui me réconfortaient et qui pensaient que Charlène trompait. Je passa la journée avec les mêmes amis et le soir nous sommes allés trinquer en la faveur de Jacques, qui fetais ses vingt-sept ans.

    C‘était comme cela pendant une semaine entière, jusqu‘à voir Charlène marcher dans la rue. Je l‘interpela et elle m‘ignora, je fus triste mais je me disais que c‘était de ma faute à cause de mon comportement infantil. Le soir, j‘étais allé devant chez ma bien-aimée, elle m‘ouvrit et me pria d‘entrer, elle m‘expliqua qu‘ellle était désolée et que cela ne se reproduira plus jamais. J‘accepta ces excuses, deux secondes après s‘être pris dans les bras, elle m‘attrapa la main, et me prononça la meilleur phrase de toute ma vie, j‘allais être papa.

    L‘histoire finira bien, nous nous étions marier et on eu deux enfants. Mes parents étaient très heureux pour moi et les siens aussi. Nous vivrons vieux et mourrons ensembles.

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