Lettre D'une péruvienne

dans le texte de Françoise de Graffigny, nous voyons qu'elle dénonce cette inégalité, à travers Zilia, une jeune péruvienne qui écrit à son frère, Aza resté au Pérou.

La jeune femme ne veut pas savoir comment se passe l'éducation des hommes, elle s'intéresse à l'éducation des femmes, car son but est de dénoncer les mauvaises conditions de vie subit par les femmes: "Je ne sais qu'elles sont les suites de l'éducation qu'un père donne à son fils: je ne m'en suis pas informée", d'ailleurs elle dit que c'est le père qui éduque , elle ne dit pas que c'est la mère, car c'est toujours les hommes qui éduquent, que ce soit les femmes, ou les enfants. Dès le départ la jeune péruvienne dénonce une société où les gens de différents sexes sont séparés:"on les enferme dans une maison religieuse, pour leur apprendre à vivre dans le monde, que l'on confit le soin......ne connaissent pas.

Françoise de Graffigny utilise le pronom personnel "je" et les verbes "savoir","penser","sentir" pour dire ce qu'elle pense de l'inégalité des hommes et des femmes.

Elle utilise d'ailleurs un vocabulaire pour exprimer sa colère, son indignation:"superficiellement","méprisé","lache","accablé", il y a aussi l'utilisation d'un champ lexical de l'autorité :"enferme","sévérité","autorité","punition" pour montre que les femmes sont obligés d'obéir aux hommes, la jeune péruvienne décrit une société qui punit les femmes, mais laissent les hommes tout faire.

Françoise de Graffigny cite plusieurs personne responsable de cette inégalité, les personnes qui enferme les filles, les parents qui veulent des filles à belles apparences:"regler les mouvements du corps","arranger ceux du visage","composez l'exterieur", et les lois qui laissent les hommes tout faire:"comment ne seraient t'elles pas révoltées contre l'injustice des lois qui tolèrent l'impunité des hommes".

En accusant toutes ces personnes elle dénonce la responsabilité de la société.

L'énonciatrice dit que les femmes ne peuvent pas étre heureuses,ce qui pourrait posé des problèmes, elle s'intérroge meme à la fin" mais qui peut résister au mépris ?".

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