Les médias sont-ils vecteur de liberté ?

Dissertation

Sujet : Les médias sont-ils vecteurs de libertés ?

Nous pouvons distinguer quatre types de médias journalistiques qui se sont développés au fur et à mesure dans le temps, la presse écrite, la radio, la télévision et le web. Nous nous focaliserons sur les médias du web, et plus précisément sur les médias sociaux. Étant une génération de plus en plus connectée, nous sommes actuellement en moyenne plus de 3 milliards d’utilisateur des réseaux sociaux sur mobile, et sur ordinateur. Chaque jour en 2018 un million de personnes sont devenues des internautes. Les français passeraient en moyenne 4h38 sur internes… Notre question ? les médias sociaux sont-ils l’élan de liberté du 21ème siècle ? nous répondrons à cette problématique en trois parties, premièrement nous verrons les limites de la liberté d’expression dans les médias sociaux, puis dans une seconde partie comment les médias sociaux peuvent nous manipuler et nous finirons sur la place de nos libertés individuelle dans les médias sociaux.

Les médias sociaux on fait énormément de bruit concernant la liberté d’expression sur la toile. Contrairement aux États-Unis la conception de la liberté d’expression diverge avec celle instauré en Europe. On constate que les États-Unis ne lui consacrent aucune exception contrairement à l’Europe et surtout en France, concernant tous les propos haineux et discriminatoire, principalement lorsque ceci concerne des évènements historiques comme l’Holocauste. Les réseaux sociaux ne connaissant pas les frontières géographiques, il est d’autant plus complexe de différencier ces deux conceptions de la liberté d’expression.

Penchons-nous sur l’exemple de Twitter, le débat a commencé en France autonome 2012, il est l’exemple idéal de la conception de la liberté d’exception Européenne et Américaine, tout a commencé avec un hashtags « #unbonjuif » et « #tuerunmort » le mercredi 10 octobre, ce hashtag était devenu le troisième plus populaire sur twitter, avec pour but un concoure de « blague » antisémitiques. A ce moment-là l’union des étudiants juifs de France demanda le retrait et la suppression de ces tweets en plus de l’identité des publicateurs. La compagnie américaine a évidemment refusé et le débat commença. Cette association pris donc d’assaut le tribunal de grande instance de Paris, qui fera droit à leurs demandent le 24 janvier 2013, tout en ordonnant à la plateforme française, de créer un moyen de signaler tous les tweets, faisant l’apologie des crimes contre l’humanité et ceux incitant à la haine.

Nous pouvons donc voir que les médias sociaux ont des limites à la liberté d’expression, nous pouvons effectivement écrire et penser ce que l’on veut dans une certaine limite où nous ne portons pas atteinte à une communauté ou des évènements historiques classé comme crime contre l’humanité.

Les réseaux sociaux se sont donc énormément développés et nous permettent aujourd’hui d’exprimer nos opinions dans un contexte de liberté d’expression, depuis peu nous avons également découvert une autre facette des réseaux sociaux moins connu, la manipulation de l’opinion publique.

Les médias sociaux ont pris une place de plus en plus importante dans la vie politique de nos démocrates. Si on prend l’exemple de Donald Trump, qui avec l’aide d’un collaborateur avait établi un questionnaire, dans le but de collecter des données sur des informations personnelles. Au total c’est plus de 50 d’utilisateurs qui ont été frappé par cette collecte de donnée. Celle-ci ont permis à l’équipe électoral de Donald Trump d’en savoir bien plus sur les utilisateurs de Facebook que personne d’autre, ce qui a permis de dresser des messages électoraux en jouant sur leurs goûts, préjugés et peurs. L’équipe de Trump a donc réalisé du micro-profilage en collectant plus de 4 000 données par utilisateurs.

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