Les femmes dans le roman

I. Les femmes dans le roman

a. Une femme désirée

b. Une femme marquer par son passer

II. Les femmes de la fin du XIX° siècle

Intro : Au XIX° siècle, la femme n’est pas considérer comme l’égal de l’homme, elle est considéré comme un « être de second rang » d’après le code civils de Napoléons 1er.Louise Roland et Mme Rosémilly sont les 2 femmes du roman, L’une est une mère de familles, possède 2 fils, dont l’un est issus d’une liaison avec un ami de la famille. L’autre est une jeune veuve de 23 ans, qui est envié par Pierre et Jean. Ce roman démontre de nombreuse chose sur la condition des femmes au XIX° siècle et ce qui était à l’époque des faits de société, comme L’adultère, le mensonge, les mariages arranger ou l’amour.

I. Les femmes dans le roman

a. Une femme désirée

Pierre et Jean Roland on pour voisine une jeune femme, veuve d’un capitaine depuis 2 ans, M me Rosémilly dont Jean est amoureux. Même si les femmes ne sont pas censées être l’égal de l’homme à cette époque, C’est bizarrement Jean qui est amoureux d’elle plus qu’elle l’est de lui. Peut-être est-ce dû au fait que M me Rosémilly a déjà été marié à un homme, et c’est aussi pour ces raison que l’on peut parler de « mariage arranger ». En règle générale, ce sont les hommes qui font leurs demandes en mariage, mais ici, les rôles sont inversés. C’est M me Rosémilly qui formule elle-même la demande, même si Jean ne parlais avant que d’amours et non pas de mariage. Ce qui fait que l’instant est particulièrement ironique et totalement inversé aux idées de l’époque, est que l’homme devrait agir avec raison et la femme avec insouciance. De plus c’est M me Rosémilly qui dirige la conversation, Jean lui voudrait profiter de l’instant présent, on le sent très sentimental, comme un adolescent. Lui voudrait de petite caresse, des « oui qui veulent dire non », alors qu’elle semble plus mature, « vous n’êtes plus un enfant », plus posé. C’est pour cela que l’on ne peut pas pa

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rler de mariage d’amour, car la relation entre M me Rosémilly et Jean est passé en moins de 5 minutes d’une relation amicale à une relation de fiancée. Ce passage est bien sur une critique de l’époque sur les conditions des femmes, Maupassant pense qu’elles sont l’égal de l’homme et que parfois, elles peuvent même s’affirmer comme lors de la discussion entre M me Rosémilly et Jean où la femme dirige la conversation, et où Jean s’efface complètement de son rôle d’homme. Maupassant évoque aussi dans cet extrait le fait que le mariage peut aussi conduire les personnages vers une impasse quand ce qui devrait être dit sur un ton amoureux et subjectif est dit sur un ton froid et objectif.

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