Les Fables De La Fontaine

II/ Son œuvre.

• Dans un premier temps, on y explique que De La Fontaine donne à ses fables un sens non seulement pédagogique mais aussi des sujet sérieux et plaisant. Tout en nous faisant sourire, il nous fait une leçon de vie.

• Une fable est le genre ancien d'apologue. Elle est destinée à illustrée une vérité politique, morale ou philosophique. On y explique que la fable est très rapprochée du mythe ou de la parabole évangélique. La fable est caractérisée pas ses histoires généralement coupées en deux parties ; l'histoire et la morale. En plus de s'adresser à l'imagination du lecteur, il satisfait le désir de lire des histoire de l'homme, mais la leçon de moralité s'adresse plutôt à la raison du lecteur. La fable est donc une histoire cachée derrière la fable qui préserve l'innocence. Mais, on peut voir dans certaines fables que la leçon de morale débute dès le début de l'histoire.

• De La Fontaine diversifie ses sources, c'est-à-dire, qu'il prend autant de référence sur les anciens que sur les auteurs du moyen-âge.

• Contrairement à ses nombreux prédécesseurs De La Fontaine apporte plus de soin dans l'écritures de ses récits. Il utilise de nombreuses versifications (alexandrin, octosyllabes, décasyllabes, sept syllabes). Généralement, dans les récits, les descriptions sont brèves et peu longues, donc dans les récits de De La Fontaine, on y trouve surtout des dialogues. Dans ses fables, on y retrouve des registres comiques, burlesques, satiriques, tragiques, dramatiques, et lyriques.

• On remarque, De La Fontaine utilise souvent des animaux en personnages principaux pour ses fables, ainsi que des dieux.

• Jean De La Fontaine marque bien les défauts de l'homme dans ses leçons de morales. Grâce aux animaux des ses fables, il dénonce l'orgueil des hommes et fait donc passer les animaux pour des êtres supérieurs. Ses leçons de morale sont donc la pour nous apporter des conseils et nous fait acquérir d'avantage de lucidité pour mieux vivre dans le monde.

• Les illustrations ont une fonction première ; aider le lecteur à saisir la morale de la fable. Une image ne se limite pas à illustrer des propos, elle nous donne des informations qu'une poésie ou qu'un texte ne peux donner.

• De La Fontaine, dans ses critiques politiques, fait souvent référence à l'actualité (la guerre d'Hollande, 1672-1678) mais dans un cas plus général, à la politique de guerre de Louis XIV. Pour lui, les guerres sont des catastrophes morales.

III/ Etude du recueil.

A. 2) La première fable que j'ai choisis est "Le Corbeau et le Renard" (p.56) parce-que c'est une fable que je connais depuis mon enfance. Je trouve en suite que la leçon de morale et très bien dite sous cette forme là. La deuxième fable que j'ai apprécié était "La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Bœuf" (p.57) parce-que c'est une fable amusante, qui se lit facilement et qui, je trouve, et vraiment marrante à lire à des enfants.

B. 1) Le livre septième et huitième sont dédié à Mme de Montespan, son but à été de diversifier ses fables et différencier les sujets. La différence entre les livres septième et huitième et le livre premier c'est que les fables sont beaucoup moins longues dans le livre premier.

2) Questions p.213-214 :

I. Un procès tragique : parodie de justice et la loi du plus fort.

A. - Prologue, présentation du fléau

- 1er acte, l'avocat et son client, les côtés pile et face d'une même pièce

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