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Le lac cas

Dissertation : Le lac cas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Janvier 2016  •  Dissertation  •  1 542 Mots (7 Pages)  •  591 Vues

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Plan détaillé

INTRODUCTION

• Sujet amené : Le 10 octobre 1816 Alphonse de Lamartine et Julie Charles se rencontrent à Aix-les Bains et dès lors c’était le coup de foudre. Les deux ont voulu se rencontrer à cette endroit précis un peu plus d’un an plus tard, mais l’auteur a patienté en vain et c’est seulement quelque mois plus tard qu’il apprend la mort de son aimée. C’est, donc, à ce moment que Lamartine a composé le poème « Le lac ».

 Époque : composé en 1817 et publiée en 1820

 Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine

 Titre de l’œuvre/de l’extrait : Le lac

 Date et lieu de publication : composée en 1817 au lac de Bourget et publiée en 1820 à Paris

 Courant, genre et forme littéraires : Poème, Romantisme, Élégie

 Lien avec le contexte : La perte de sa bien-aimée – l’écriture du poème au lac il avait rencontré Julie Charles

• Sujet posé : Le poème « Le lac », D’Alphonse de Lamartine, est-il une méditation sur la puissance destructrice du temps ?

• Sujet divisé : Il est claire qu’après ce qu’il a vécu avec son aimée il a dû centré sa penser sur les effets néfastes du temps.

― Le poète médite en assignant son attention de façon centripète sur l’amour passé

― Le temps est une grande puissance pour l’homme puisqu’il ne peut le contrôler

― Le temps est destructeur de bon moment en les faisant passer trop vite et en faisant passer les moments de malheur trop lentement

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

I. (1er argument principal) Le poète met son attention de façon centripète sur l’amour passé.

A. (1er argument secondaire) Nostalgie de l’amour passé.

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical de l’amour - « chéris » (V.8), « adorés » (V.14), « charmé » (V.20), « chère » (V.21), « les plus beaux de nos jours » (V.26), « aimons » (V.35), « amour » (V.40) et « bonheur » (V.40)

a) Par cela, le poète montre l’attachement à sa bien-aimée.

b) (si nécessaire)

à

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) champ lexical du passé - « devait » (V.8), « mugissais » (V.11), « brisais » (V.12), « jetait » (V.13), « voguions » (V.15), « entendait » (V.16) et « frappaient » (V.17)

a) En employant ce champ lexical l’auteur démontre l’omniprésence des souvenirs de son passé.

b) (si nécessaire)

à

C.A. : (conclusion du paragraphe A) En conclusion, il est facile d’affirmer que le poète est nostalgique du temps passé avec son amour à cause du langage qu’il utilise lorsqu’il parle d’elle.

B. (2e argument secondaire) Le temps lui a volé ses meilleurs moments.

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical des souvenirs précieux - « harmonieux » (V.18), « charmé » (V.20), « la voix qui m’est chère » (V.21) et « les plus beaux de nos jours » (V.26)

a) On comprend que le poète croit avoir vécu ses plus beaux moments.

b) (si nécessaire)

à

2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Citation - « Ce temps qui les donna, ce temps qui les effaces, Ne nous les rendra plus! » (V.45-46)

a) Ici il accuse le temps de voler les moments sans jamais les rendre.

b) (si nécessaire)

à

C.B. : (conclusion du paragraphe B) il est donc clair qu’il croit que le temps lui a volé ses meilleurs moments puisqu’il pense que ses plus beaux moments son avec son amour passé et que le temps passe en ne laissant que des souvenirs.

C.I. : (conclusion de la partie I) Pour finir, il est évident que le poète a médité sur le temps puisqu’il a focalisé son attention sur le passé mais principalement sur sa bien-aimée.

II. (2e argument principal) Le temps est une grande puissance pour l’homme puisqu’il ne peut le contrôler

A. (1er argument secondaire) Le temps continu de s’écouler peu importe ce que l’homme peut faire

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore - « Ainsi, toujours poussée vers de nouveau rivages, Dans la nuit éternelle emportée sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? » (V.1-4)

a) De manière métaphorique cela explique l’impuissance de l’homme face au temps.

b) (si nécessaire)

à

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