Le corpus de textes

Le corpus de textes :

Texte A : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1652.

Texte B : Alfred de Musset, La Confession d’un enfant du siècle, 1836.

Texte C : Marcel Proust, Un Amour de Swan, 1913.

Notre corpus se compose de trois extrait de roman qui sont basé sur les sentiments amoureux ainsi que les pensées des personnages. Dans La Princesse de Clèves (1652), Madame de La Fayette narre l'histoire de deux époux perturbé par l'attirance de la jeune marié envers un autre homme. Dans La Confession d'un enfant du siècle (1836), Alfred de Musset, met en avant une passion amoureuse d'un homme en vers une femme qui elle séduit un autre homme. Dans Un Amour de Swann (1913), Marcel proust compte l'histoire d'un homme jaloux et très mefiant, qui soupsone son amant de voir une autre personne que lui. Nous alons voir les différents procédés par lesquelles les auteurs font percevoir aux lecteurs les sentiments et les pensées qui agitent les personnages principaux.

Tout d'abord, la première remarque importante que nous pouvont faire est l'omniprésence du champs léxical des sentiments. En effet, dans les texte de Madame de La Fayette avec les mots « Jalousie » , « Passion », « Amour » ainsi que celui de Marcel Proust avec les mots « Plaisir » , « Honte ».

On peut aussi relevé le champs léxical du doute exprimé par les personnages, le montre par exemple Madame de Cleves  « soupçon », « impression », « paraître ».

Ensuite tout les textes sont du point de vue intenrne, ce qui permet de faire percevoir aux lecteurs les sentiments et les pensées qui agitent les personnages principaux. La Princesse de Clèves et Un Amour de Swann les auteurs utilisent le point de vue interne à la troisième personne du singulier (« elle », « il ») ce qui permet au lecteurs de mieux percevoirs les etats d'âmes des personnages alors que dans La Confession d'un enfant du siècle, Musset utilise la prmière personne du singulier, le lecteurs rentre dans la peau du personnage et lit toute c'est pensé.

A noté que les sentiments prédominants dans ses trois textes sont la jalousie et la méfiance tels est le cas dans l'écrit de Madame de La Fayette «  des inquietudes mortelles de la défiances et de la jalousie » ainsi que dans celui de Marcel Proust « Elle lui avait dit souvent l'horreur qu'elle avait des jaloux ».

Ainsi on peut dire que les auteurs font percevoir aux lecteurs les sentiments et les pensées des personnages principaux grace au points de vu interne et a l'omniprésence des champs lexicaux des sentiments employés par l'auteur.

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