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Le Pouvoir Des Fables

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Par   •  9 Avril 2013  •  1 034 Mots (5 Pages)  •  1 514 Vues

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Le Pouvoir Des Fables

Page 134 deuxième partis, livre huitième, fable IV

I-Une structure originale : une fable dans une fable

Récit du narrateur, récit de l’orateur (2 fables)

a) Le premier récit

• Situation présenté comme historique : indicateur spatio-temporelle« Athène » v1 et « autrefois » v1 => Antiquité

• Narrateur / fabuliste qui raconte une histoire qu’il présente comme vrai : utilise 1ere personne « je » v33 et le pronom personnel « nous » v32

• Mise en scène par le narrateur d’un orateur politique confronté à l’indifférence et à l’ennui de son auditoire : narr rapporte les circonstances du discours « patrie en danger » v35 , la hargne de l’orateur pour ce faire écouter « recourut a ces figure violents » v7 « il fit ..qu’il put» v9 son résultat négatif « ne daignant l’écouter »v12 « tous regardait ailleurs »v13

• V15 marque la rupture « il prit un autre tour » : une autre façon de s’exprimer : discours prononcé par l’orateur v16 à 27

b) Le second récit

Introduit par expression « autre tours » v15 : Apologue mis en place de façon abrute pronocé par l’orateur vb de parole « commença-t-il » v16

• Récit met scène des pers de fiction : Cérès ( appartient à la mythologie) une hirondelle et un Anguille => récit simple, contexte enfantin et surréaliste qui intéressent le publique : « Et Cérès que fit t-elle » v21

• Indignation de l’orateur « courroux » v22 => le publique s’intéresse a des chose futile et enfantine au lieux de s’intéresser a la pol de leur pays

Ainsi le fabuliste une histoire en vers, qui ressemble beaucoup à la fable, pour mettre en scène un orateur qui, confronté à l’indifférence de son auditoire dans une situation grave emploie un apologue pour attirer l’attention de son public sur cette indifférence et sur ses dangers. Se trouve donc explicité, illustré et justifié le titre « Le pouvoir des fables ».

II-Deux manières d’argumenter et leurs effets

1er narrateur rapporte indirectement la manière de parler de l’orateur / 2eme v6 il cède la parole a l’orateur s’exprimant dans un discours directe

a) Une prise de parole violente avec un discours sérieux qui s’avère inutile

• Recourt a : registre polémique et tragique avec les termes « art tyrannique » v.3, « forcer » v.4, « fortement » v.5, « figures violentes » v.7, « exciter » v.8, «tonna » v.9 accord avec la gravité de la situation

• Inefficacité du discours : brefs constats négatif « On ne l’écoutait pas » v.6, « le vent emporta tout ; personne ne m’émut » v.10 très significatif= paroles tombent dans le vide --> utilisation: outils typiques de l’oratoire comme la tonalité pathétique mais pers touché = les gens semblent imperméables à ses paroles.

• Insistance de l’échec de l’effet du discours : remarque sur la frivolité du peuple « il en vit … d’enfants » v14 plus interresé pas des combats d’enfants que par une invasion

• En effet « l’animal aux tête frivole » comparaison méprisente qui renvoie a Horace qui appelait son peuple "monstre a plusieurs tete" et qui accentue l'idée un peuple "vain et léger".

On finit par avoir Vision dévalorisante de l’orateur :" Orateur" passe

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