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Le Journal D'anne Frank

Commentaire de texte : Le Journal D'anne Frank. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Avril 2015  •  Commentaire de texte  •  369 Mots (2 Pages)  •  2 952 Vues

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Anne Frank est une petite fille allemande née de parents juifs le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main ou elle a vécu jusqu’en août 1933. Le sort funeste réservé à la communauté juive va faire émigrer la famille Frank à Amsterdam. Anne et sa sœur s’adaptent rapidement à la vie néerlandaise, et c’est d’ailleurs en néerlandais qu’Anne Frank rédige son journal.

Le jour de son anniversaire, Anne Frank reçoit comme cadeau un journal intime. Elle va alors se mettre à écrire son histoire le 12 juin 1942 et l’achèvera au 1er août 1944. Anne fait d’abord la description de son quotidien et de ses étranges sensations deparler à un journal comme à une amie. Elle l’appellera d’ailleurs Kitty. Elle se confit donc à son journal et lui révèle comment elle tombe amoureuse de Peter Schiff la fin de son année scolaire. Lorsqu’Anne Frank et sa famille sont éxilés d’Allemagne pour échapper à Hitler et ses persécutions envers le peuple juif pendant la seconde guerre mondiale, elle continue de raconter les évènements. Elle fait alors part à Kitty de leur situation de clandestinité après la convocation de la S.S que sa sœur Margot reçoit. Elle s’exprime ensuite sur la cachette arrangée d’avance (qui s’appellera l’Annexe) se trouvant dans le bureau de son père, qui va être partagé avec les époux Van Daan et leur fils, du nom de Peter.

Elle relate de manière éprouvante les souffrances et les peurs de huit personnes qui doivent vivre deux ans de leur vie un commun, dans la clandestinité. Elle va élargir son champ de vision en s’instruisant, en s’informant sur les événements du dehors: les bombardements, les malheurs, la politique des autres pays.

De façon naturelle et spontanée Anne Frank nous fait connaître une personne qui parfois désarmée, profondément découragée, qui ne perd pas pour autant ni ses espoirs, ni son esprit combatif. La narratrice trouve dans l’écriture un grand réconfort. Elle lui a permis à mieux supporter beaucoup de circonstances en lui donnant la possibilité de s’isoler et de prendre du recul. Elle a écrit pour la dernière fois dans son le 1er août 1944, c’est-à-dire trois jours avant son arrestation par la S.S. et sa déportation au camp de concentration.

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