Le Jour D'un Condamné

Le monde que l’on connait aujourd’hui avec une certaine humanité n’a pas toujours été comme cela. L’humain a pris recours à plusieurs méthodes drastiques au cours de l’histoire de l’humanité qui n’ont pas toujours été approuvé par certaines idéologies humaines. Cela a amené au questionnement suivant des humains au 21e siècle : La peine de mort devrait-elle être abolit ou non? Par contre, cette question n’était pas en vigueur dans l’esprit des gens d’autrefois et on le voit très bien dans le roman de Victor Hugo publié en 1829 Le dernier jour d’un condamné. Ce livre relate de façon critique la peine de mort et donne l’idée d’abolir ce dernier qui est la peine de mort. Pour ce faire, dans cet extrait l’angoisse, ses souffrances et l’humiliation du condamné face à la peine de mort y seront illustrées ci-dessous.

Le sentiment d’angoisse que subit le condamné ce fait percevoir lors de son chemin vers son exécution. En effet, l’auteur montre la rage qu’il a lorsque vient le temps de l’exécuter « Une rage m’a pris contre ce peuple. J’ai eu envie de leur crier : - Qui veut la mienne ? » (Lignes 136-138). La rage de ce dernier montre qu’il stress face à cette situation. Il emploie un ton sarcastique et cela prouve sa nervosité face à l’événement qui le mènera à la mort. Le condamné qui est acclamé de bonheur aux grands claquements de main du peuple qui ne se tient plus en place face à l’exécution de ce dernier, celui-ci devient tourmenté par les événements. « Les mots manquent aux émotions». (Lignes 153-154) Par cette déclaration, la connotation péjorative est démontrée par l’auteur de façon à ce qu’il fait ressortir le sentiment d’angoisse et de tristesse du condamné. Il n’est plus capable d’exprimer ce qu’il ressent à cause de son angoisse. Ainsi, le condamné n’aura le choix que de faire face à cette mort qui l’attend de pied ferme malgré cette tourmente qui traverse ces entrailles.

Le public lors de cet évènement donne une signification importante à la peine de mort. Avec tout ce monde, les gens percevaient l’exécution d’une personne comme un plaisir sans remords où ils pouvaient jouir de la mort de quelqu’un comme si c’était un spectacle : « Toutes ces voix, toutes ces têtes aux fenêtres, aux portes, aux grilles des boutiques, aux branches des lanternes; ces spectateurs avides et cruels; cette foule où tous me connaissent et où je ne connais personne; cette route pavée et murée de visages humains…J’étais ivre, stupide, insensé. C’est une chose insupportable que le poids de tant de regards appuyés sur vous.» (Lignes 175 à 181) Le condamné ce sent humilié face à tant de regard posé sur lui. Dire que tous ces gens sont venus pour son exécution fais en sorte qu’il ressent une honte en lui-même. Le peuple fais ressentir au détenus des sentiments qu’il n’aurait jamais ressenti s’il n’y aurait personne alors le peuple joue un rôle important dans cet extrait du texte. Le peuple détient une grande influence sur l’effet psychologique du condamné, ce dernier démontre des signes d’insupportabilité face à cette situation désagréable : « J’ai voulu regardé autour de moi. Gendarmes devant, gendarmes derrières; puis de la foule, de la foule, et de la foule; une mer de têtes sur place.» (Lignes 108-110) Le signe de répétition démontre

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