Le Dernier Jour D'un Condamné

Le dernier jour d’un condamné, publiées en 1832 est un engagement ouvert contre la peine de mort .En effet Victor Hugo (1802-18 85) créé un dialogue argumentatif fictif ou il s’oppose a des personnes tout en le tournant à son propre avantage.

De plus son registre polémique met en valeur ses arguments, il permet vraiment au lecteur témoin de choisir son camp, il choisira sans aucun doute les arguments de Victor Hugo puisqu’il défavorise les arguments de ses adversaires. Nous pouvons donc nous demandez de quel manière Victor Hugo dénonce-t-il la peine de mort en s’appropriant tous les arguments avec un dialogue argumentatif fictif.

Enfin Victor Hugo renforce ses arguments personnel grâce au pathétique.

Déjà nous pouvons voir que Victor Hugo met en place un faux dialogue argumentatif et le tourne a son propre avantage.

Tout d’abord en utilisant le « vous » pour désignez ses adversaires et le « nous » pour se désigner en étant le porte-parole des opposants. Si les adversaires « Transformez » leurs façons de voir les choses « nous comprenons et nous adhérons » à leurs idées, nous voyons bien que le lecteur est prit dans son partie.

De plus il y a une forte différence entre les parties. Les paroles des adversaires sont monotones, elles sont placées entre deux tirets, ne commence pas part une majuscule et ne finissent que par un simple point, alors que les paroles de Victor Hugo commencent par des majuscules, sont pleines de point d’exclamation et d’interrogation « A quoi bon La mort ? » (l.4). Il questionne le lecteur pour le faire réfléchir et l’interroge. Avec cette vivacité le lecteur accroche encore plus à ses idées. Tout simplement grâce à cette ponctuation expressive.

De plus nous pouvons voir de quelle manière il défavorise les arguments de ses adversaires.

Dans un premier temps nous pouvons voir que le troisième argument des juges « Il faut faire des exemples ! il faut épouvanter par le spectacle du sort réservé aux criminels ceux qui seraient tentés de les imités » est un argument qui est pris et repris éternellement « dans tous les réquisitoires des cinq cent parquets de France ». Ici Victor Hugo montre que les juges ne font que reprendre tout le temps la même phrase et ne font « que de variations plus ou moins sonores » (l.18-19) et ne comprennent même pas ce qu'ils disent. Ils ne pensent qu'a appliquer la loi.

Par la suite nous pouvons voir qu’après chaque arguments de ses adversaires, Victor Hugo les contredit. Par exemple pour le premier argument de ses adversaires (l.2 à 3) « parce qu’il […] nuire encore. » Victor Hugo leurs dit que s’il ne s’agirait que de cela « la prison perpétuelle suffirait » (l.4). Donc cela veut dire que pour Victor Hugo la mort n’est pas une obligation et qu’il y a d’autres solutions comme la prison. Pour le deuxième argument de ses adversaires il dit que «  se venger est de l’individu, punir est de Dieu » donc il est encore en désaccord avec les adversaires. Le lecteur au cours de sa lecture approuve les arguments de Victor Hugo, et se rend compte que les adversaires ne réfléchissent pas, ils reprennent ces arguments bêtement sans même les comprendre.

Enfin nous pouvons voir qu'il renforce ses propres arguments.

Déjà il utilise l’argumentation direct sans utilisé d’intermédiaire, en exposant son avis et ses idées clairement.

Ensuite il utilise l’ironie par exemple avec « si vous ne Croyez […] des ménageries ? ». Il se moque d’eux parce qu’eux même ne croient puis en leurs prisons et ont peur que les prisonniers puissent s’échapper et nuire encore à la société.

Et enfin son dialogue fini par une chute avec « faites donc des exemples ! le mardi gras vous vit au nez » (l.27). Ce qui montre

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