Le Dernier Jour D'un Condamné
Commentaires Composés : Le Dernier Jour D'un Condamné. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar misstitemathou • 26 Février 2014 • 529 Mots (3 Pages) • 800 Vues
La guillotine
Chapitre 11, 29, 26
La guillotine est présente dans tous le livre, elle est ressentie par le condamné.
Comment Victor Hugo fait il pour que la guillotine soit omniprésente sans pour autant la nommer ?
La guillotine : un jour de fête/ Victor Hugo fait une description dur de la guillotine
1) Le livre « le dernier jour d’un condamné » a été écrit après qu’Hugo soit allé assister à une exécution. Victor Hugo a une fascination pour les machines. Il c’est rendu à cette exécution en 1825, il était fasciné et terrifié, dans cette scène il y a un coté spectaculaire. Il y a, à cette époque une exécution par semaine.
Lieux et topographie
Page 48, 92, 117
Il y a tout au long du livre un écoulement de temps, entre les trajets et le temps qui passe. Tout est complémentaire, le temps et les espaces sont liés. Le temps s’écoule vers le moment fatidique, le trajet montre cet écoulement de temps.
Page 131 cheminement dans la charrette (XLVIII)
Lieux/topographie : Paris sujet Hugolien/modernité
Les lieux ont été repris dans les tableaux parisiens de Baudelaire.
Les forçats
Chapitre 13
Hommes condamnés = galériens = travail dur/dur labeur = bagne
Ce chapitre compare les conditions des forçats à la peine de mort. Le spectacle des forçats est terrifiant et affreux.
Quand le condamné observe la scène il est le spectateur (fasciné) à la fin du chapitre il est le spectacle. La foule se retourne contre lui, les forçats sont inhumains, ce sont des démons, des bêtes. Le condamné est humain, il à des sentiments, il a peur de ces hommes.
« La grève est sœur de Toulon » mieux vaut peut être la galère que la mort
Quel est la peine la plus grave, la galère ou la mort ?
L’argot
Ensemble d’un groupe de mot qu’adopte un groupe social : misérables isolés des autres/tiers états des villes/langage des villes.
Argot : langage pauvre mais Hugo en fait une poésie.
Les enjeux : peur, angoisse, lâcheté, remord, langage des surveillants de prisons, sensibilité du lecteur, tragique.
Hugo oppose se qui parle l’argot et le condamné à mort qui lui a du savoir vivre. On peut s’identifier au condamné, il y a plus de proximité.
La chanson chanté par la fillette est en argot elle raconte le viole de la fille.
La religion
Comment se présente la religion
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