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La Vouivre

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Par   •  6 Novembre 2014  •  946 Mots (4 Pages)  •  581 Vues

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Tout d’abord, dans la première partie, la Vouivre livre un discours sur la ville et la campagne à Arsène. Elle lui démontre toutes les différences qu’elle a pu repérer entre la campagne d’aujourd’hui et celle d’il y a cinq mille ans. Elle nous dit également que les champs d’autres fois étaient très sauvages et que ceux de maintenant sont remplis de champs de blé et de pommes de terre très bien organisé. En d’autres mots, elle trouve que les campagnes d’aujourd’hui ressemblent à des jardins et que celle d’avant ressemblent à un désordre total. Cette description est montrée par le champ lexical suivant : « la nature » (l.1, 17), « campagne » (l.4), « bête de blé » (l.5), « champs » (l.5), « vert plat » (l.6), « bois mort » (l.8), « bois vif » (l.8), « plantes » (l.9), « lumière » (l.9), « blé » (l.10), « pommes de terres » (l.5,10-11), « village » (l.11), « prés à vaches » (l.11-12), « peupliers » (l.13), « jardin » (l.13,17), « forêt » (l.13) et « arbres » (l.14). Ce champ lexical est lié au thème des différences entre les deux campagnes, car elle nous décrit précisément toutes les différences visibles entre celle-ci. La métaphore « je trouve la campagne bien face avec votre bête de blé » (l.4-5) sert à nous démontrer l’immensité des champs de blé d’aujourd’hui. Le terme « bête de blé » est utilisé ici comme comparaison sous-entendu avec les champs. La Vouivre a utilisé ce terme précis pour nous faire comprendre qu’elle n’avait jamais vu un champ aussi géant où pousse que du blé. Cette métaphore est en lien avec les différences entre l’ancien pays et celui d’aujourd’hui parce que la Vouivre est étonné de voir comment tout a changé et que tout est si grand. Ce qui suit, nous souligne davantage la description des champs. Le point d’exclamation utilisé dans la phrase « qu’elle pagaïe! » (l.9-10) nous montre le sentiment de surprise qu’éprouve la Vouivre à la vu du paysage. En comparant, une fois de plus, la campagne d’aujourd’hui avec celle d’auparavant, elle nous aide à comprendre son sentiment de surprise lorsqu’elle s’aperçoit qu’avant tout était si sauvage et qu’aujourd’hui tout est si ordonné. Pour terminer, la comparaison « des arbres plantés comme des asperges » (l.14) nous montre l’allure ordonnée et serré des forêts. Toutes ces citations nous donnent un sentiment d’exagération envers la description les deux campagnes ce qui nous fait comprendre son importance. Puisqu’elle trouve un ci-grand changement dans cette campagne, elle le trouvera également pour la ville. (((432)))

Dans la deuxième partie de l’extrait, la Vouivre nous explique à quoi ressemble la ville pour elle. En nous décrivant les différents personnages qui y vivent, la Vouivre montre à quel point la ville est plus sauvage que la campagne et qu’elle ressemble à une vraie forêt. Le champ lexical, de ce cas-ci, est montré par une description des gens vivent en ville. Les termes « une mêlée » (l.21), « vies tapis » (l.21), « pressées » (l.21), « femmes guettées » (l.22), « foules » (l.23), « polonais » (l.25), « voyous de la ville » (l.25-26), « filles sales » (l.26), « hommes » (l.28), « filles » (l.29) et « bêtes surprises » (l.30), sont en lien avec le faits que la ville est plus sauvage que la campagne, car toutes les descriptions

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