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La Théogonie d’Hésiode

Cours : La Théogonie d’Hésiode. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Novembre 2012  •  Cours  •  478 Mots (2 Pages)  •  559 Vues

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Du sperme qui forme une écume naît Aphrodite. Voir la Théogonie d’Hésiode.

- L’abondance des références aux auteurs anciens (antiquité gréco-latine surtout).

- L’importance du corps et ici, particulièrement, du corps féminin. Les trois « b » : l’ingestion, l’évacuation.

- Rabelais privilégie le « bas » : la tripe, le boyau, le cul, la merde. Volonté d’être vulgaire, un comique grossier.

- L’abondance de la nourriture, du vocabulaire.

re l’activité déployée et la vacuité de celle-ci. Il y a un décalage entre la tonalité admirative, le lexique élogieux et l’inutilité des actions. Faussement admiratif, la narrateur souligne la vacuité et l’inutilité des actions des moines. Rabelais suggère qu’ « il n’y a aucun mérite dans une piété purement verbale que n’accompagne pas une action guidée par la morale » (M. Screech, Rabelais).

La suite du récit montre la vacuité des occupations : les prières sont des textes sans signification ânonnés bêtement par des moines qui ne les comprennent pas : exagération des ânnonements, l.18-19. De plus, le discours est ici pris d’un bégaiement en contraste avec ce qui est dit « tu ne craindras pas l’assaut des ennemis ». L’absurdité constatée vient d’une parole religieuse en contradiction avec les sentiments profonds des moines.

Le commentaire de frère Jean, fondé sur l’homophonie renforce par son caractère antiphrastique la dépréciation de ces prières : « C’est […] bien chien chanté. », l.20.

Plaisanterie sur le caractère soiffard des ordres monastiques par la transformation de la formule de prière « donnez-nous notre pain quotidien » en « Seigneur Dieu donnez-nous notre vin quotidien ! » (l.25-26).

Dénonciation de l’hypocrisie des moines qui sous couvert de religion et de mortification, sont en fait des soiffards : « le service divin » (l.29) devient le « service du vin » (l.30), prolongé par la maxime comique : « Jamais un homme noble ne hait le bon vin : c’est un précepte monacal » (l.31-32).

Dénonciation du caractère intolérant des ordres religieux et de leur violence : frère Jean doit être mis au cachot pour avoir interrompu un service au demeurant inutile et sans signification, l.27-28.

L’ironie fait ici apparaître les anomalies de la vie monastique. Elle détruit l’image ordinaire d’homme pieux, au service de la communauté, occupés de choses spirituelles.

Le portrait de Fère Jean est un portrait plein d’humour. L’humour réside ici sur le contrepoint tonal : dans une énumération de qualités psychologiques se glisse la notation physique « pas manchot ». L’accumulation de qualificatifs couvre le portrait psychologique jusqu’à « décidé », le po

Séance 2

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