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La Princesse De Clèves

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Par   •  24 Avril 2014  •  746 Mots (3 Pages)  •  701 Vues

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La princesse de Clèves

Roman psychologique qui joue sur le decallage entre deux époque.

La démarche de mme de lafayette est assez originale, elle transpose les histoires de sont époque à 1 siècle avant. Elle met en avant le goût pour le passé.

(La cour s'installe à Versailles en 1681)

I. L'art du portrait classique

1) L'usage du stéréotype ou du poncif (Légèrement péjoratif)

- La princesse de Clèves est un type literaire Le portrait ici, hérité de toute une tradition de l'éloge de la femme que l'on trouve en particulier à la renaissance que l'on trouve dans les blason.Il y a un côté de picturale : on trouve ce goût pour le portrait de la femme jeune dans la peinture italienne

- L'influence du conte (ligne 1 :"il parut une beauté" -> métonimie ). Cette métonimie vise déjà à résumer la personne alors que l'on est encore au tout début du roman

- L'usage du cliché peut induire le lecteur dans une vision idéaliste à l'eau de rose mais il y a quand même des éléments qui révèle du compte : le cadre Sociale est un peu idéalisé, c'est un monde qui fascine et qui suicite de l'envie : la romancière "vend du rêve".

- Portrait idéalisé :"beauté parfait", "grande beauté", "la blancheur de son teint et ses cheveux blonds", "éclats". On est dans des canons de beauté assez classique. À cette époque, la blancheur est considéré comme un marqueur sociale, la blondeur à la cour était vu comme un avantage, un panache. Tout ça participe à la vision idéal de la femme de la cour qui échappe à la conditions commune.En vertueux d'une conception qui vient de l'antiquité, on considérait qu'il y avait un lien entre le physique et le morale.

- Les qualités physiques et morales sont en liens

2) L'étoffe rhétorique du texte

- Hyperbole (ligne 2 :"elle attira les yeux de tout le monde")

Tournure restrictive (ligne 31"un éclat que l'on avait jamais vu qu'à elle")

Tout est vu du côté de l'exceptionnel

C'est un exceptionnel codifié

- Litote (Devient une forme rethéorique de la bienséance)

"Belle personne"

Les allusions à la galanterie (Le libertinage) sont vu à travers un voile publique

Elle joue avec l'attirance diffuse d'une adolescente

La litote ou l'euphémisme est au service de la renaissance.

La très longue phrase (ligne 11 à ligne 23) essaye de dire sans dire, qui essaye d'épouser les méandres de la conversations entre la mère et sa fille.

Les bienséances ici, laisse entrevoir chez la mère un langage explicite ("Le peu de sincérité des hommes" ligne 16)

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