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La Nouvelle Héloise de Rousseau

Commentaire de texte : La Nouvelle Héloise de Rousseau. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Février 2017  •  Commentaire de texte  •  916 Mots (4 Pages)  •  1 820 Vues

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 Le texte de la Nouvelle Héloise de Rousseau est centré sur le désir, dans celui-ci, Jean Jacques Rousseau, se permet de donner sa vision du désir dans laquelle le désir serait dû à l’imagination de l’homme et que cette imagination de nos désirs nous emmène vers une jouissance. L’invention d’objet que l’on désire a plus de valeur que le bonheur en lui-même selon lui. Dans le texte, Rousseau montre en première partie les aspects positifs du désir et en deuxième partie il émet les conséquences qu’a le désir sur l’homme et comment interpréter le fait de désirer. Mais la réelle question est que  selon Rousseau, nous pouvons nous passer du bonheur tant que nous désirons, mais le bonheur n’est-il pas une des principales facultés du désir ?


I. Dans la première partie du texte, Rousseau parle des aspects du désir dans lesquels il les rpz comme des règles a suivre avec chaque étapes pour celui-ci. Le désir serait donc une forme de satisfaction qui convient à l’homme cad que le désir provoquerait un aspect positif dans la vie d’un être humain, le désir est montré comme utopique comme si le monde pouvait être meilleur en envisageant ce qu’il faudrait pour être heureux d’où ce paradoxe dans le texte qui sera plus mit en avant dans la deuxième partie du texte avec le blâme du bonheur lorsque l’on désir. Quand nous désirons nous pouvons se passer de la joie donc du bonheur car avant de désirer un objet nous ne jouissons pas de lui car nous ne le possédons point encore alors qu’une fois l’objet possédé nous pouvons jouir de lui-même, avoir du plaisir donc du bonheur, ces émotions n’apparaitront donc qu’une fois l’objet en notre possession.  Par exemple, pour Spinoza le désir est l’essence même de l’homme, c’est-à-dire que le désir est notre principale faculté, sans lui nous ne sommes pas. Le désir nourrit notre bonheur et l’aide à se développer lors de la possession de ce que l’on a désiré, il prend la forme de la passion, l’objet désiré peut représenter une puissance affective par exemple quelque chose qui nous tiens a cœur personnellement c’est une puissance lié à une émotion chez l’homme.
Cette notion aurait a elle-même différentes facultés comme par exemple le bonheur, le plaisir et tant que l’homme n’obtiendra pas le plaisir il aura beaucoup de mal a obtenir le bonheur, l’un n’est quelque chose sans l’autre car désirer c’est provoquer le plaisir, et provoquer le plaisir c’est provoquer le bonheur, et provoquer le bonheur c’est provoquer le plaisir. Rousseau parle de l’inquiétude du désir c’est-à-dire de s’inquiéter de l’obtention du désir (comment l’obtenir ?par quels moyens ?) donc s’inquiéter de devenir heureux, et avoir peur de plonger dans le réel lorsqu’on va obtenir ce que l’on  désir. La puissance du désir est tellement révolutionnaire qu’elle arrive à modifier le réel. On attend de provoquer le désir que quand nous avons trouvé ce que notre être a besoin.

La conséquence du désir serait donc le malheur, le désir est au centre de la vie de l’homme car sans lui nous sommes malheureux, et notre vie est donc ennuyeuse car nous n’avons aucun but précis dans nos vies car le désir est le but principal qu’un homme pourrait vouloir atteindre dans son existence cela nous montre que le désir est tout ce que l’on possède. Il représente la puissance même de notre existence donc il est ce par quoi nous trouvons la force d’agir, il est la source de notre bonheur « maitrisé ». Les désirs évoluent avec une conséquence qui entraine une transformation de l’homme car étant donné que le désir nous aide a nous procurer ce dont nous avons besoin, lorsque que nous obtenons ce que l’on désir cela apportera des éléments nouveaux chez l’homme et l’aidera a se développer soi- même. Lorsque que l’on obtient ce que l’on désir nous ne sommes pas aussi enthousiaste que lorsque nous attendons l’obtention d’un objet, l’envie d’obtenir prend le dessus, nous espérons tellement qu’un fois obtenu nous nous lassons car c’est un acquis, et l’homme passe à autre chose en essayant d’acquérir d’autres besoins. Pour Rousseau, l’homme est un être bornée c’est-à-dire que lorsqu’il a quelque chose dans son esprit, cela est très dur de lui faire enlever, l’homme est en quelque sorte capricieux, et a des envies de choses dont il peut avoir besoin, mais aussi des objets superficiels qui ne méritent pas une telle jouissance abusive.
Le désir serait imaginaire, l’homme créerait ses propres désirs issus de son imagination ce qui rend son désir présent comme par exemple dans le rapport amoureux, lorsque nous éprouvons des sentiments dont du désire pour quelqu’un, nous lui trouvons toutes les qualités les plus parfaites, nous les imaginons car nous désirons cette personne et nous utilisons l’imaginaire pour rentre cette personne idéale. Le désir investi l’objet de sa valeur et pour Spinoza le désir devient l’essence de l’homme, les objets sont capables de nous rendre heureux.

Pour conclure, Rousseau dit que l’être si il n’est pas existant par lui-même, ce ne sera pas une belle personne car « il n’y a rien de beau que ce qui n’est pas » donc désirer c’est exister. Dans le texte, il y a un paradoxe entre les deux parties ; une présente le désir avec ces aspects positifs ainsi qu’une bonne vision du bonheur et l’autre parle des conséquences du désir sur l’homme et que le désir est dû à l’imagination d’où l’opposition du réel et de l’imaginaire.






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