La Littérature

La littérature est en France appréciée par de nombreuses personnes, c’est pour cela que le transfert de la littérature dite papier au numérique n’est pas chose aisée. Dans le document 1 nous avons une interview de François Bon par Frédérique Roussel où ils parlent de la mutation des livres papier pour l’électronique. Puis dans le document 2, c’est un roman écrit par Jean Clément où il parle de la littérature numérique. Par ailleurs, dans le document 3 nous avons également un roman de Jacques Sternberg où il parle d’un homme qui écrit un roman sur son Macintosh. De plus, dans le document 4 une image où un homme parle d’un moyen de faire connaître leur cyber-monastère. Internet est-il une chance ou un danger pour la littérature ? Avant tout d’abord, je vais commencer par faire une synthèse des documents et par la suite je poursuivrai par répondre à la problématique ?

Le document 1 nous démontre que François Bon a une réticence du fait de la mutation du livre papier pour le livre électronique. Il nous dit que les écrivains ont un réel mal, ils bloquent avec le livre électronique. Le livre n’aura plus besoin de support papier tout comme la musique n’a dorénavant plus besoin de CD tout se fait électroniquement « Puis on se contentait de télécharger sans se procurer de CD, et maintenant la plupart d’entre nous écoutons en streaming. On a appris à différencier le contenu de son support ». Dans le document 2, Jean Clément nous dit que chaque personnes ayant internet s’est essayé une fois la littérature « tout le monde, une fois au moins dans sa vie, aura eu sa page, son discours, son prospectus, son toast, sera auteur ». Par ailleurs, Jean Clément fait une constatation en disant que l’internaute qui a l’habitude de livre des livres papier, avec le numérique il passe de lecteur à spectateur. Il nous montre également qu’avec le numérique nous sommes plus enclin à essayer de vouloir savoir la fin ou sauter des passages ils appellent cela « tentation fatale du clic. Dans le document 3, Jacques Sternberg nous raconte d’un homme qui est un écrivain dit « médiocres » et il souhaite se procurer un Macintosh pour remplacer son ancien ordinateur. Par ailleurs, suite à achat il se sentit inspirer et en moins de 8 jours il écrit 100 pages sans se relire du tout, un roman qu’il ressentait tout à fait fascinant. De plus, un soir il a souhaité se relire et ses 100 pages avaient disparus sauf quelques paragraphes qu’il jugea sans intérêt. Le document 4 nous montre un dessin où un homme dit qu’il a une méthode révolutionnaire pour faire connaître leur cyber-monastère dans le monde entier.

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