L'étranger, Albert Camus
Commentaire d'oeuvre : L'étranger, Albert Camus. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar ismael200 • 28 Janvier 2019 • Commentaire d'oeuvre • 1 404 Mots (6 Pages) • 423 Vues
INTRODUCTION
Albert Camus est un écrivain français qui a en son actif plusieurs romans, des pièces de théâtre et certaines nouvelles. Né à Mondovi en Algérie le 7 Novembre 1913 dans une famille pauvre, il perd son père pendant la première guerre mondiale. Toutefois, sa mère est contrainte de les élever dans un quartier populaire d’Alger.En 1930, il obtient le baccalauréat. Et après des années passées à l’université, il est malheureusement atteint de la tuberculose en 1936.Mais plus tard, après une licence en philosophie, il devient journaliste à Alger.
A travers son œuvre ‘’L’étranger’’, Albert Camus met en exergue un thème important <
Aussi, cette œuvre soumis à notre étude, nous permettra de mettre en évidence l’expression del’absurdité de Meursault.
I/DEFINITION
Selon le dictionnaire Larousse, l’absurdité est ce qui est contraire à la raison, à la logique. Cela peut traduire des propos et des conduites déraisonnables. L’expression de l’absurdité émane d’un comportement en contradiction avec les règles sociales établies d’où un anticonformisme vis-à-vis de la société.
II/L’expression de l’absurdité de Meursault face à son entourage
Comme annoncé plus haut, le personnage principal dans ‘’L’étranger’’ est Meursault, il est celui qui tout au long de l’œuvre va par ses actes et ses propos nous révéler un comportement contraire aux règles sociales. Des faits et gestes qui seront jugés par le commun des mortels comme des agissements non conformes aux règles définies par la société. L ‘œuvre soumis à notre étude regorge de plusieurs passages évoquant l’expression de l’absurdité de Meursault.
1-L’indifférence de Meursault face à la mort de sa mère
Comme premier exemple de cette expression de l’absurdité, nous avons une indifférence ressentie par Meursault lorsque sa mère est morte. En effet, il n’a éprouvé aucune peine à l’annonce de sa génitrice. Cela se voit à travers le chapitre I, à la page 9<
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